1 1953, Articles divers (1951-1956). Unité et diversité de l’Europe (juin 1953)
1 artis politiques et d’intérêts, dans une espèce d’ espéranto totalitaire… Cette vision pessimiste de notre sort repose sur deux gr
2 1970, Articles divers (1970-1973). La place du livre dans l’information de l’homme moderne (1970)
2 pper la recherche d’une langue internationale ? L’ espéranto , par exemple, ce qu’on a essayé de faire jusqu’ici mais sans grand su
3 ou un répertoire, pourquoi ne pas les diffuser en espéranto , à supposer qu’il y ait beaucoup de gens qui le sachent. Cela, c’est
4 lle. La langue fait partie du message du livre. L’ espéranto ne le fera jamais. La langue française, si on est de langue française
5 z jamais espérer d’une langue synthétique comme l’ espéranto . J’ai pris cette question parce qu’elle me permet de préciser ce que
3 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
6 un affreux méli-mélo où l’on ne parle plus que l’ espéranto ou le « volapuk » des utopistes détestés, je propose de répondre simp
4 1978, Tapuscrits divers (1980-1985). Le Grandchamp des Bovet (5 juin 1978)
7 me, du Foyer de la solidarité, du scoutisme, de l’ espéranto , de Pierre Ceresole et des Amis de la nature — dont il fonde à 15 ans
8 le portugais et l’espagnol. Et il avait appris l’ espéranto en huit jours, l’espace d’une grippe qui l’avait retenu alité. Ce qui