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ndre dans une unité supérieure » l’antinomie de l’
esprit
catholique et de l’esprit sportif. « On se fait son unité comme on pe
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eure » l’antinomie de l’esprit catholique et de l’
esprit
sportif. « On se fait son unité comme on peut », avoue-t-il francheme
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lle-ci empêche les abus, mais celles-là forment l’
esprit
. » M. de Montherlant illustre sa propre pensée de cette citation d’un
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r lorsqu’il n’est, comme ici, que la loyauté d’un
esprit
animé par une foi agissante. c. « Conférence Guisan », Suisse libér
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le miracle apparut, grandit. Le miracle, c’est l’
esprit
d’Aubonne. C’est ce miracle tout ce qu’il y a de plus protestant — ma
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se produire ailleurs qu’en terre romande. C’est l’
esprit
de liberté, tout simplement. Mais précisons : c’est bien plus que la
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œuvres, si elles furent faites à l’image de notre
esprit
, le lui rendent bien dans la suite ; c’est peut-être pourquoi nous ac
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se tout, et qui s’oppose au perfectionnement de l’
esprit
, puisqu’elle ne permet que des associations suivant les directions de
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nte, quelle confiance vont guider ce corps et cet
esprit
… Créer, ou glisser au plaisir ? Êtes-vous belle, mon amie, — et vous,
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ouloureux, où ces problèmes viennent se poser à l’
esprit
, profitant de son désaccord avec la vie. Ni métaphysicien, ni logicie
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s, caressant en nous la lâche volupté de sentir l’
esprit
se défaire et couler sans fin vers un sommeil à l’odeur fade de fleuv
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us enivrait, promettant à nos sens, fatigués de l’
esprit
qui les exerce, des voluptés plus faciles — pour infuser dans nos cor
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qu’épousent nos ferveurs, angles purs, repos de l’
esprit
qui s’appuie sur son œuvre ! La sérénité de cette façade élevée lumin
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t d’en faire un tableau qu’il suppose présent à l’
esprit
de ses auditeurs. Il termine en citant le jugement d’Albert Sorel, se
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tites nouvelles ont un pouvoir tyrannique sur mon
esprit
. Non que cela m’intéresse au fond : les faits-divers, rien de moins d
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el plaisir cruel. C’était un jeu très simple où l’
esprit
libre de calculs se tend ardemment vers la conclusion d’un hasard qui
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mprends aujourd’hui le lien qui unissait dans mon
esprit
Vienne et Hoffmann : c’était le souvenir de Gérard de Nerval. Mais je
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rière. Orphée perd Eurydice par scepticisme, par
esprit
scientifique, par doute méthodique, par besoin de définir, par défian
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visage, ne serait-ce pas devenir un centre de pur
esprit
? » C’est un premier filet d’eau vive qui perce le sol aride : mais S
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a plus grave — car il vécut dans ces marches de l’
esprit
humain qui confinent peut-être à l’Esprit et dont certains des plus p
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es de l’esprit humain qui confinent peut-être à l’
Esprit
et dont certains des plus purs d’entre nous se préparent à tenter le
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Ou bien — la sagesse. » Mais le feu s’éteint — l’
esprit
souffle où il veut. Juin 1802 : au moment où meurt Diotima, Hölderlin
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Au sujet « d’un certain
esprit
français » (1er mai 1930)p 1. Un petit volume « lourd de pensée »,
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», comme disent bizarrement les journalistes. (L’
esprit
n’est-il pas ce qui allège ? Ce qui fait s’envoler les ballons ?) 2.
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littéraire de l’époque, mais non sur le sort de l’
esprit
. À côté d’eux, s’écrient nos auteurs, « qu’on nous montre un seul Fra
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t d’écrire au sujet de quelques-uns des meilleurs
esprits
que la France ait su rendre inoffensifs. Il se pourrait très bien qu’
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e, non la substance. p. « Au sujet “d’un certain
esprit
français” », Aujourd’hui, Lausanne, n° 22, 1er mai 1930, p. 4. Recens
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t en face des fantômes nés du relâchement de leur
esprit
ou de celui des autres. Nous avons vu des amateurs de pittoresque ess
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Mais ceux-là seuls parmi nous les verront, dont l’
esprit
parviendra par sa puissance d’adoration, à se créer une part angéliqu