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’hindou, cette catégorie suppose la primauté d’un
Esprit
sans contenu ; pour le chrétien, la primauté d’une personne. 5. « Ta
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ts dans le langage et les écrits de notre temps :
esprit
, révolution, liberté, ordre, patrie. Voilà les instruments du jeu phi
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ou hommes d’État. Les uns tiennent le parti de l’
esprit
et les autres celui de l’ordre, les uns le parti de la révolution, le
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t la liberté dans l’ordre, ou la révolution par l’
esprit
, ou un esprit patriotique, ou une patrie spirituelle… Tandis que d’au
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ans l’ordre, ou la révolution par l’esprit, ou un
esprit
patriotique, ou une patrie spirituelle… Tandis que d’autres opposent
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atrie spirituelle… Tandis que d’autres opposent l’
esprit
à la révolution, l’ordre à la liberté, ou encore les patries de l’ord
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des 29 sens que Littré donne, pour le seul mot :
esprit
, si j’interroge au hasard ceux qui veulent défendre « l’esprit » cont
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interroge au hasard ceux qui veulent défendre « l’
esprit
» contre les menaces dites matérialistes, je constate qu’on entend pa
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« s’entendre » et s’allier : c’est que pour l’un,
esprit
signifie évasion, spiritualisme et duperie bourgeoise ; pour l’autre,
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t tous ces sens se chevauchent pour former dans l’
esprit
des polémistes les plus étranges surimpressions26. La liberté sera in
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ion démocratique des grandes masses à la vie de l’
esprit
me paraît tout à fait improbable dans l’état actuel du régime. Elle e
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es, ou des idées. Il flatte ainsi la paresse de l’
esprit
, décourage le sens critique, décontenance les expressions les plus co
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elle est d’abord cette inquiétude du cœur et de l’
esprit
qui naît de la mort des amitiés. Plus angoissante encore, elle règne
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dans la nature, dans l’histoire, dans la vie de l’
esprit
? 24. Extrait d’un ouvrage intitulé Penser avec les mains , à par
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n nom ne cessera de grandir : Franz Kafka. De cet
esprit
incomparable — qu’on l’entende aux deux sens du terme —, un seul ouvr
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parfaite qui nous semble absurde. Il semble que l’
esprit
ait proclamé, lui aussi, son autarchie, et qu’il puisse se donner des
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lus compte de la crise du monde, et de celle de l’
esprit
dans ce monde. L’esprit s’est dégagé des coordonnées du moment, c’est
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u monde, et de celle de l’esprit dans ce monde. L’
esprit
s’est dégagé des coordonnées du moment, c’est dire que son exercice n
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bjectives, et celles sur lesquelles il faut que l’
esprit
s’appuie pour poser un problème quelconque ». L’acte, tel que nous l’
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ts. D’un côté, un champ plus libre conquis pour l’
esprit
, de l’autre une pression accrue sur l’inerte. Risque par conséquent a
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c le minimum de duperie, une presse truquée. L’
esprit
Il est évident que la portée d’une telle entreprise dépend de la v
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Rocque défend ce qu’il appelle « la primauté de l’
esprit
». Il fait placarder des affiches « Pour la défense de la liberté ».
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rier publie un manifeste intitulé Au service de l’
esprit
, où il est question à chaque page de défendre la liberté. Dans l’état
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messieurs défendent en réalité le contraire de l’
esprit
et de la liberté, c’est-à-dire qu’ils défendent l’un et l’autre un ré
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ici seul encore éveillé, les yeux bien ouverts, l’
esprit
clair. Clarté d’un minuit solitaire, veillée trop lucide peut-être, p
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vons, nous autres intellectuels, éveillent dans l’
esprit
populaire des harmoniques que nous ne savons plus prévoir. Littéralem
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rétend les remplacer, n’ont plus d’autorité sur l’
esprit
de la lettre. Aussi bien nous parlons au hasard, pour ne pas dire dan
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adictoires. Or, de ces deux antagonistes, c’est l’
esprit
qui sera vaincu. Non point qu’il s’avilisse partout ni qu’il se laiss
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t plus. Ce qu’on « entend », c’est l’absence de l’
esprit
, c’est l’appel aux instincts, aux intérêts urgents, presque toujours
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répétitions n’ont d’autre but que de laisser à l’
esprit
le temps de se « figurer » ce qui est dit. (C’est seulement de la lan
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veillera peut-être des réflexions fécondes dans l’
esprit
du lecteur philosophe. Déjà huit mois que nous sommes ici, et combien
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is bien qu’ils exagèrent : si nous étions de purs
esprits
, nous ne projetterions pas d’ombre. L’ombre est la preuve humiliante
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er Schlemihl n’est-il pas comparable à celui d’un
esprit
et d’un corps sains après « l’amour » ? Durant quelques moments, l’ho
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vec tout son instinct à l’image d’une vision de l’
esprit
. (L’esprit seul voit) Le corps et l’âme chantent alors dans l’unisson
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n instinct à l’image d’une vision de l’esprit. (L’
esprit
seul voit) Le corps et l’âme chantent alors dans l’unisson de la chas
37
e chantent alors dans l’unisson de la chasteté. L’
esprit
offensif et joyeux, le corps qui se sent « plein dans sa peau », part
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’un hérisson mort. » Cette phrase a fait dans mon
esprit
ce qu’on appelle un trait de lumière. Lundi dernier, au petit matin,
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est moderne, c’est sportif, cela vous pose dans l’
esprit
des populations, on se sent maître à bord de sa puissante machine, et
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, le dynamisme, le sens pratique et la rapidité d’
esprit
que les bourgeois, qui en sont dépourvus, attribuent par erreur au «
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tée par Hegel, qui eut le tort de la fonder sur l’
Esprit
, ce qui était proprement la poser sur la tête : que le génie de Marx
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t humain (c’est-à-dire en tant que l’on obéit à l’
Esprit
, pour Paul, et en tant que l’on fait la révolution, pour Marx). Il s’
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seule arme dont il disposerait sur le plan de l’«
esprit
», car il est incroyant. D’ailleurs, ce n’est pas l’« esprit » qu’il
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ar il est incroyant. D’ailleurs, ce n’est pas l’«
esprit
» qu’il veut sauver, mais l’homme, que les spiritualistes abandonnent
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nt. Pour sauver le reste — disons : la culture, l’
esprit
, et l’âme si l’on y tient — il faut commencer par le nier. L’« esprit
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l’on y tient — il faut commencer par le nier. L’«
esprit
» du bourgeois spiritualiste n’est qu’une caricature, mais ses ravage
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compte la vérité — laquelle contient aussi l’«
esprit
» — bref qu’il n’est en somme qu’une tactique. Faisons de nécessité v
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eur non moins grave que celle des défenseurs de l’
esprit
pur : l’erreur qui porte l’homme à croire que la cause de tous ses ma
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diate, de changer tout ; et non pas seulement l’«
esprit
» ou l’« intérieur ». Or si le marxisme a réussi cela, s’il a pu para
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que assez gênante et bouleversante. C’est que l’«
esprit
» qui devait être l’agent du changement total, perpétuel et seul réel
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n sont encore visibles aujourd’hui : nulle part l’
esprit
totalitaire n’a trouvé moins de complicité et plus de résistance décl
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e fait en l’opposant, comme il serait facile, à l’
esprit
unitaire et impérial qui anime l’Église de Rome. Le grand souci d’œcu
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responsables, dans la mesure où nous cultivons un
esprit
détaché du réel, une liberté abstentionniste et inféconde. Tout le ma
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ionniste et inféconde. Tout le mal vient de notre
esprit
. C’est à lui de faire pénitence, car c’était lui qui devait témoigner
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qu’on retrouve les mêmes mécanismes partout où l’
esprit
démissionne ! 52. « Je ne vois jamais le christianisme devenir révol
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is aussi : la qualité, la fonction créatrice de l’
esprit
. En somme, tout l’essentiel ! — Je dis que toute doctrine qui ne tien
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de la vocation et du destin. Il fait comprendre l’
esprit
de révolte qui tourmenta sans fin les douze tribus. Car un but invisi
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bois Et c’est son bâton qui lui parle ! Car l’
esprit
de prostitution égare Et ils se prostituent loin de leur Dieu ! (Os
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stituent loin de leur Dieu ! (Osée, 4, 12) Cet «
esprit
de prostitution », cette idolâtrie qui renaît dès qu’Israël cesse de
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ue l’homme, au lieu de le secourir en incarnant l’
esprit
. Et c’est à cette ultime tentation que devaient succomber les plus gr
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disent chacun au hasard ce qui leur vient dans l’
esprit
; mais entre les philosophes… Nous croyons que Dieu voit tout ce qui
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re au Dieu vivant est une obéissance directe « en
esprit
et en vérité ». Or abstraire, c’est d’abord s’abstraire de l’immédiat
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au Créateur70. Enfin, remarque encore Renan : « L’
esprit
prophétique, et les institutions qui en naissent, au moins virtuellem
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dans les, mains de l’homme responsable, et dont l’
esprit
connaît un but auquel il dédie toutes ses œuvres, l’on voit que la cu
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t aussi la plus convenable aux fins suprêmes de l’
esprit
. Toutefois, non tant à cause de sa pauvreté même, qu’à cause de l’abs
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. 10, 1), pour repousser le Christ, qui était « l’
esprit
» et la réalité finale de la Loi. Dès lors, la Loi est « accomplie »
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tte attitude voulue de séparatisme spirituel, cet
esprit
d’irréconciliable opposition dont s’était nourrie toute la tradition
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ais c’est aussi l’intellectualisme stérilisant, l’
esprit
d’abstraction inhumaine et chimérique, au surplus troublé de sentimen
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rs membres de ces nations éparses ou persécutées,
esprit
à la fois traditionaliste et hardiment novateur, génie financier, niv
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moignage, et du témoignage fidèle, certifié par l’
Esprit
et la Bible, et constituant la véritable « action » de l’homme entre
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it-il l’Éternel ? Comment la chair tuerait-elle l’
Esprit
? Elle ne peut tuer que l’idée fausse qu’elle s’en formait… Mais tu a
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, nous retournons à lui, il est en nous lorsque l’
Esprit
dit : la Parole dans notre cœur. Quelle étrange illusion nous ferait
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n fondement, qui est la Parole dite en nous par l’
Esprit
et attestée par l’Écriture, — or, cette Parole est Christ lui-même, —
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solitude qu’ait sans doute jamais connue un grand
esprit
. Un an plus tard, accablé par la lutte qu’il menait seul contre tous,
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e grandeur. Un acharnement sans pareil à forcer l’
esprit
sur l’obstacle du désespoir et de l’absurdité de l’existence ; toute