1 lle il n’y a plus ni Juifs ni Grecs aux yeux de l’ esprit . Elle ne demande pas : que crois-tu ? qu’espères-tu ? mais elle deman

2 , affirmant son humanité et sa parfaite liberté d’ esprit . Puis s’étant excepté de la commune sottise, ayant sauvé l’honneur po

3 icago, Pittsburg sans doute. Qu’on n’oublie pas l’ esprit qui règne encore sur les forêts et sur les lacs innombrables du conti

4 rêts et sur les lacs innombrables du continent, l’ esprit subtil et ombrageux de l’éternel dernier des Mohicans ! Vaincu, il a

5 es vertes, que vivent et pensent quelques-uns des esprits qui auront le plus contribué à transformer la condition du siècle. Hi

6 ue matin depuis six ans ses énormes péripéties, l’ esprit se sent soudain menacé d’ennui. Mais en même temps, c’est comme s’il

7 nt apparues simultanément. Elles se proposent à l’ esprit avec tant de clarté qu’on est tenté d’y voir l’indication d’une fatal

8 à cette union. Ils sont dans l’étroitesse de nos esprits , non pas dans la raison, ni dans les faits. Au premier rang, on ne ma

9 ait enfin s’enorgueillir. Ils représentent dans l’ esprit des modernes la Fatalité imbécile. Pourquoi donc les acceptons-nous c

10 (30 juin 1946)o Il est des lieux où souffle l’ esprit de destruction. Herman Melville, grand romancier américain du dernier