1 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (I) (15 février 1937)
1 matériel cette subite conversion à la cause de l’ esprit  ? N’allons pas en chercher l’explication au-delà des frontières imméd
2 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (III) : Mission civique de la culture (1er mars 1937)
2 ple lit ce qu’on écrit pour lui, et si les grands esprits se désintéressent de son sort, il ne peut que leur rendre la pareille
3 ains qui ont manqué à leur fonction de guides des esprits , et ruiné leur autorité. Ils sont donc mal venus à se plaindre. Mais
3 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). L’Âme romantique et le rêve (23 mars 1937)
4 sion de réviser bien des préjugés ancrés dans nos esprits , notamment le préjugé qui veut que les romantiques allemands n’aient
5 s », alors qu’ils furent souvent, en réalité, des esprits d’une lucidité puissante, voire téméraire. On saura gré, d’ailleurs,
6 réalité. Il y fallait toutes les ressources d’un esprit bien armé par nos classiques, alliées à une profonde sympathie pour l
7 européenne des Suisses français dans l’ordre de l’ esprit . 3. Éditions des Cahiers du Sud, Marseille. g. « L’Âme romantique
4 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Santé de la démocratie américaine (17 janvier 1941)
8 lui « donnera sa chance », comme ils disent. Cet esprit de participation exerce une influence excellente à la fois sur le gou
9 s conscients et très jaloux de la qualité de leur esprit public ? Sait-on assez de quelle passion profonde se charge ici le te
5 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Lettre aux députés européens (15 août 1950)
10 e, c’est qu’elles traduisent une certaine forme d’ esprit , une cécité partielle devant les leçons de l’Histoire, que j’ai plus
6 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Troisième lettre aux députés européens : L’orgueil de l’Europe (17 août 1950)
11 es de la Magna Charta et du Pacte du Grütli, de l’ esprit des communes, des états généraux, et du Serment du Jeu de Paume… Ce g
7 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Quatrième lettre aux députés européens : En lisant le pamphlet du Labour Party (18 août 1950)
12 mieux faites pour la rendre impossible, l’une en esprit et l’autre en probabilité —, M. Dalton soumet le Conseil de l’Europe.
8 1952, Journal de Genève, articles (1926–1982). Au pays du Patriarche (29-30 novembre 1952)
13 d’une plume qui valait une armée, et d’un mauvais esprit qui valait cent vertus. « Marchez toujours en ricanant dans le chemin
9 1955, Journal de Genève, articles (1926–1982). Pour un désarmement moral (19 juillet 1955)
14 ccident, douteurs chroniques ou neutralistes de l’ esprit ne peuvent rien apprendre aux hommes de l’Est : ceux-ci n’enverront p
10 1956, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Oserons-nous encore… » (6 novembre 1956)
15 sciste, est un malade mental, ou, s’il est sain d’ esprit , c’est un criminel en puissance : c’est un homme qui approuve, excuse
11 1958, Journal de Genève, articles (1926–1982). Hommage à Pasternak (31 octobre 1958)
16 n sibérien. C’est devant une autre tragédie que l’ esprit s’arrête, dans le cas de Boris Pasternak. Son refus le juge moins qu’
12 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). Denis de Rougemont et l’objection de conscience (30 juin 1969)
17 farfelu. C’est un homme sérieux et ouvert, doué d’ esprit critique mais capable de s’enthousiasmer autant que de s’indigner. Le
13 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Non, notre civilisation n’est pas mortelle ! » (30-31 août 1969)
18 n lui propose et qui s’imposent plus ou moins aux esprits et aux sensibilités. Mais encore faut-il sentir l’époque si l’on veut
19 ale du risque assumé, de l’action, orientée par l’ esprit , et de la vocation personnelle. Je m’y tiens et l’époque fera ce qu’e
14 1980, Journal de Genève, articles (1926–1982). Les journalistes sportifs ? On dirait qu’ils aiment les tyrans (31 mai-1er juin 1980)
20 a est, à mon sens, une effroyable caricature de l’ esprit olympique et de la morale sportive en général. De toute façon, je ne