1 s Actes. La méfiance règne en permanence dans son esprit  : mais c’est une attitude « scientifique » nullement sceptique ; c’es

2 es, ne démolit que les preuves matérielles dont l’ esprit humain voudrait toujours les faire dépendre. Il nous rappelle ainsi q

3 de son glaive, et tout accessoirement celle de l’ Esprit  ; des chevaliers partant pour la Croisade, aux milices de Loyola, pou

4 rincipe qui anime ces groupes, celui de la revue Esprit ou celui de L’Ordre nouveau , pour ne rien dire de plusieurs autres

5 lais l’exercice de la vocation. Ce qu’on nomme à Esprit ou à L’Ordre nouveau  : la personne, c’est cette réalité que tout c

6 ice de sa vocation personnelle. Et c’est dans cet esprit qu’il s’agit de rebâtir l’économie et les cadres sociaux. Vous voyez

7 roupes de L’Ordre nouveau , et ceux de la revue Esprit . Le jeune mouvement personnaliste ne se donne pas pour un mouvement

8 nt personnaliste à se développer. Lisez la revue Esprit , lisez L’Ordre nouveau , mettez-vous en rapport avec leurs groupes 

9 nous ce que saint Paul appelle « les fruits de l’ Esprit  ». On sent dans ces études un constant effort de fidélité humble pour

10 nce de la guerre transportée dans le domaine de l’ esprit , un goût d’aventure, mais aussi une extrême simplification intellectu

11 et pratique, entre les diverses disciplines de l’ esprit , entre les diverses activités humaines et sociales. Les années d’aprè

12 flambante qui fut toujours signe et symbole de l’ Esprit . Un fils soumis de Rome, le grand Paul Claudel, pouvait écrire vers l

13 ation du monde par Dieu, sa Fin, l’existence de l’ esprit , etc., paraît bien close, et pour longtemps. Et c’est un fait que les

14 mes nationaux, étatiques, partisans. Si jamais un esprit réellement international, ou « global » comme disent les Américains,