1 ’un lac où vit encore, au plus secret des bois, l’ esprit d’Œil de faucon et du dernier des Mohicans. L’onde en est bleue comme

2 e de l’Histoire. Ce qui domine en vérité tous les esprits , ce n’est pas la question de ce qu’il eût fallu faire, mais bien de c

3 ècle est abruti sous trois rapports : les sens, l’ esprit , et l’imagination. Il s’est réduit à deux spécialités plutôt maniaque

4 . Je m’en tiens à la suggestion qui me venait à l’ esprit dans une précédente lettre : la seule défense d’une ville est sa mobi

5 près deux ou trois siècles d’application des bons esprits . Voilà le sérieux nouveau, l’utilité urgente. Ces fées donnent la pai

6 es vertes, que vivent et pensent quelques-uns des esprits qui auront le plus contribué à transformer la condition du siècle. Hi

7 au nom du Petit Père, et du Brave Garçon, et de l’ Esprit Bourgeois, que la Bombe doit être administrée. Notez que si elle ne l

8 on, voilà tous les visages qui se ferment, et les esprits en état de siège. Sommes-nous fous ? Allons-nous continuer ce jeu jus

9 ue matin depuis six ans ses énormes péripéties, l’ esprit se sent soudain menacé d’ennui. Mais en même temps, c’est comme s’il

10 nt apparues simultanément. Elles se proposent à l’ esprit avec tant de clarté qu’on est tenté d’y voir l’indication d’une fatal

11 à cette union. Ils sont dans l’étroitesse de nos esprits , non pas dans la raison, ni dans les faits. Au premier rang, je ne ma

12 is de loin si enclins à confondre la rigueur de l’ esprit avec l’avarice de l’imagination, l’honneur d’une culture avec ses déc

13 s jugerez-vous le sujet bien démodé : vous avez l’ esprit si rapide, si vite occupé d’autre chose. Et l’Amérique a la mémoire s

14 t pas trop clair, ni bien facile à retenir dans l’ esprit … Vous rappelez-vous ? C’était Roosevelt qui les avait énoncées le pre

15 trente-six libertés. On entend dire : « X est un esprit libre. » De qui tient-il sa liberté ? Ni de l’État, ni de la révoluti

16 tendez, mais de sens, de vision, d’ouverture de l’ esprit … Forçant à peine, je dirais : c’est d’abord une question de poésie. E

17 la paix, la Bombe, et le colonel, procèdent d’un esprit subversif, imbu de paradoxes, vaguement diabolique, et, pour tout dir

18 t plus dépourvue de respect pour les vertus que l’ esprit seul sait porter jusqu’au paroxysme. Et comment vivre s’il n’y a plus

19 de l’humanité moderne, la seule excuse que notre esprit pût accepter pour suspendre le cours d’une existence de plus en plus

20 ble dans les populations et chez beaucoup de bons esprits , mais une paralysie sans précédent s’est emparée des volontés. Vous-m

21 votre sens de la mesure peut se rebeller comme l’ esprit devant la mort… Mais admettons que j’ai exagéré : c’était fatal. Écri