1 1948, Suite neuchâteloise. II
1 mystérieuse que celle de l’invention, dans notre esprit . Peu s’en faut, si j’y pense, que je ne les distingue plus. Tout se p
2 1948, Suite neuchâteloise. III
2 de proposer et de promulguer une loi ». Quant à l’ esprit des lois pénales, Coxe l’estime « d’une extrême douceur », et les pei
3 on des Juges… En un mot, et pour m’exprimer sur l’ esprit de cette législation dans les termes qui l’honorent le plus, je vous
4 » (II. 242). « Il jugeait ridicule et dangereux l’ esprit de caste et de famille qui régnait à Neuchâtel. Dieu nous préserve, é
3 1948, Suite neuchâteloise. IV
5 es, en Dieu plus grandes, et vers la liberté de l’ esprit . Sa première allégeance était l’Église, et par là même l’universel, c
4 1948, Suite neuchâteloise. V
6 ries n’ont jamais été vues par personne : c’est l’ esprit qui les croit comme il croit au passé, à la tradition, à l’avenir. Pl