1 s de phrases où l’indicible jette par moments une espèce d’émotion ou de gêne, non qu’il soit dit ni même décrit par allusions

2 urée : c’est une rumeur, c’est une publicité, une espèce d’inflation provisoire. Elle n’est pas grande, mais exagérée, mobile,

3 ’assurer : il y faut ce climat sentimental, cette espèce de naturel qui naît d’une entente tacite, d’une confiance, presque d’

4 évoltent soudain et l’attaquent en force, par une espèce d’éruption volcanique nommée névrose. Alors l’homme se croit menacé p

5 ? J’entends : un mot de passe de la tribu, ou une espèce de style garanti par l’usage… C. Hé quoi ! vous savez bien que tout

6 doivent permettre de permettre de passer, par une espèce de symbolisme abstrait — si j’ose dire — à la formule mathématique ;

7 la pénombre de ce débat. Je vois maintenant deux espèces de langage. Ramenons-les pour simplifier à deux modes d’expression ég

8 ue nos chefs savent à peine ce qu’ils jouent. Une espèce d’organisation mondiale ouvrira des bureaux confortables d’où sortiro

9 ettement. Vue de New York, l’Europe constitue une espèce de glacis ou s’affrontent le monde anglo-saxon et le monde russe. On

10 ant à notre continent, il est considéré comme une espèce de champ de bataille en puissance. Cela change toutes les perspective

11 be atomique, etc. Moscou, qui a toujours eu cette espèce de « complexe d’assiégement », se referme trop sur elle-même. Il est

12 est profondément sérieux, c’est même à mon avis l’ espèce d’homme la plus sérieuse de la planète. Cependant ses chansons, son t

13 en doute son caractère de destinée fatale. Cette espèce de passivité que l’on allègue, ne serait-elle point un alibi ? Je ne

14 il veut la pose… Tandis que je parlais ainsi, une espèce de gêne me vint, le sentiment de mal tomber. Il me sembla que mes pro