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style journalistique est incompatible avec aucune
espèce
de réalité spirituelle. L’auteur ne cesse de mentionner cette réalité
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e, elle répond dans le meilleur des cas par cette
espèce
de loyauté que le suzerain jadis accordait au vassal. Et ce n’est poi
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x, des plans et des valeurs humaines y dégage une
espèce
de lyrisme « global », mais elle augmente aussi l’incertitude. Or ce
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e monde s’offre à nos yeux, cette année, sous les
espèces
de quatre ou cinq foyers continentaux de crises et de profondes contr
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serviables et surtout ils sont dépourvus de toute
espèce
d’inhibition sociale. Je vous en donnerai un bon exemple. Il y a quel
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qu’on plante devant sa résidence une arbre d’une
espèce
rare ; et comme le jardinier lui objectait que ces arbres-là prennent
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e complication des institutions suisses, de cette
espèce
de mouvement d’horlogerie fine que composent nos rouages communaux, c
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ursuivent, se rapprochent et se manquent dans une
espèce
de tâtonnement aventureux qui est le mouvement même de la vie intérie
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ique, l’humanité dans sa très grande majorité une
espèce
animale désordonnée, lubrique, rapace, irresponsable et affamée ; et
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l’homme sûr de son monde. D’où vient alors cette
espèce
de malaise qu’éprouvent les étrangers sensibles lorsqu’ils prennent p
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s retours. Comment décrire et comment justifier l’
espèce
particulière d’irritation que provoquent ces regards apparemment timi
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par excellence. Je compare le nationalisme à une
espèce
de court-circuit dans la tension normale qu’il s’agit de maintenir en