1 1951, Articles divers (1951-1956). Comment fabriquer un Européen ?
1 ante pour l’adolescent — qu’il est le seul de son espèce , qu’il est un cas absolument unique. Ce qu’il y a de plus européen ch
2 1952, Articles divers (1951-1956). Les foyers de culture et l’Europe (octobre 1952)
2 s être en garde constamment d’une part contre une espèce de mystique régionaliste, d’autre part contre une tentation d’interna
3 1952, Articles divers (1951-1956). Robert de Traz, l’Européen (1952)
3 ssez de conseiller. Ce convaincu n’était pas de l’ espèce des militants d’une politique. Ce moraliste voulait d’abord comprendr
4 1953, Articles divers (1951-1956). Unité et diversité de l’Europe (juin 1953)
4 e et elle avait atteint au début de ce siècle une espèce d’unité matérielle : le voyageur pouvait la traverser de Madrid à Ber
5 tés, de partis politiques et d’intérêts, dans une espèce d’espéranto totalitaire… Cette vision pessimiste de notre sort repose
5 1953, Articles divers (1951-1956). Rudolf Kassner (1953)
6 non signée)6, lorsque j’essaie de me remémorer l’ espèce de choc que j’en reçus, à 25 ans, un seul mot me vient à l’esprit : a
6 1954, Articles divers (1951-1956). Fédéralisme et nationalisme (septembre-octobre 1954)
7 guerre) et de se sentir comme transporté dans une espèce de transcendance. À vrai dire, il s’agit encore d’un égoïsme, mais te
7 1956, Articles divers (1951-1956). Tableau du phénomène courtois (janvier 1956)
8 vie, et n’avaient tout de même pas supprimé toute espèce d’impulsions naturelles ? Les modernes, en effet, depuis Rousseau, cr
9 l’« expliquer » — l’amour courtois. Au terme de l’ espèce de contre-enquête à laquelle je viens de me livrer, et compte tenu de
8 1956, Articles divers (1951-1956). Petits trajets sur les axes du monde (août 1956)
10 ique, l’humanité dans sa très grande majorité une espèce animale désordonnée, lubrique, rapace, irresponsable et affamée ; et
11 l’homme sûr de son monde. D’où vient alors cette espèce de malaise qu’éprouvent les étrangers sensibles lorsqu’ils prennent p
12 s retours. Comment décrire et comment justifier l’ espèce particulière d’irritation que provoquent ces regards apparemment timi