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de la Brière4 voudrait nous enflammer contre une
espèce
de bolchévisme qu’il décrit ainsi : « Dans cette philosophie et cette
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antisme, il me semble qu’on peut distinguer trois
espèces
de littérateurs. Première espèce : les romanciers de la vie des class
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istinguer trois espèces de littérateurs. Première
espèce
: les romanciers de la vie des classes possédantes. Le bourgeois aime
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onne conscience conservatrice du régime. Deuxième
espèce
: les poètes romantiques, chantres de l’Idéal qu’on n’atteint pas, po
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», opium des peuples incroyants. Notre troisième
espèce
est plus rare, et vaut un peu mieux, si l’on estime ses seuls moyens.
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la permanence, les vertus trop massives. C’est l’
espèce
des immoralistes. Sans les valeurs anarchiques qu’ils défendent, le j
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ropres révoltes et ses rêves. Ils lui en font une
espèce
de gloire. Le voilà justifié dans sa mauvaise conscience. Jeunesse se
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e quelques écrivains qui échappent à toutes les «
espèces
» parce qu’ils en créeront de nouvelles. Quelques-uns, deux ou trois,
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tre qualifié de jeu, et légèrement pris par toute
espèce
de sceptiques ou d’heureux ignorants, — il est le seul. Et l’on n’en
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la personne à l’état pur resterait à nos yeux une
espèce
d’utopie ontologique, si la Révélation n’en attestait l’acte historiq
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liste trouve dans la carence du spiritualisme une
espèce
provisoire de justification. Il y a dans cette révolte un certain asc
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sion, trop rapidement vulgarisé d’ailleurs en une
espèce
de bavardage lyrique dont Breton sera, je crois, le tout premier à re
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uillait. Il y a dans tout ce qu’ils écrivent, une
espèce
de bluff inconscient, dont le dernier livre d’André Breton fournit de
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t sous nos yeux. Ce n’est pas du récit. C’est une
espèce
de taraudage21. De temps en temps, il change de mèche et recommence a
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ar l’objet du livre. Roger Breuil nous révèle une
espèce
de Français dont il est, sauf erreur, le premier à parler : une élite
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sauf erreur, le premier à parler : une élite, une
espèce
d’aristocratie paysanne. Vivant près d’eux, pour eux, il les a vus to
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s, justement. Certes, l’esprit sera partout : une
espèce
de décence le veut. Mais pratiquement, mais sérieusement, et dans l’i
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mmuns inoffensifs et soigneusement vidés de toute
espèce
de « basse » réalité qui alimentent les discours des parlements et de
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’intention de nos auteurs n’ait été pure de toute
espèce
d’ironie. Le plus grave, sans doute, c’est qu’ils croyaient bien fair
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res susnommés, l’utilitarisme grossier trouve une
espèce
de justification, assez piteuse en théorie, je le concède, mais des p
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roient tous tant qu’ils sont que l’esprit est une
espèce
de luxe vénérable et volatil, une entité qui plane au-dessus de nos v
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ntesté la grandeur d’un désintéressement de cette
espèce
. Mais on pense bien que Renan n’aurait pas pris la peine de défendre
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ommercial. Je suppose mon clerc peu fortuné. Deux
espèces
de carrières s’ouvrent à lui : celle des accommodements et celle du c
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s souvent sordides et parfois émouvantes, enfin l’
espèce
d’incertitude insouciante du lendemain dans laquelle on parvient asse
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théoriciens — ingénieurs ou économistes — et de l’
espèce
la plus amie des abstractions, des solutions mathématiques, des stati
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, le droit dont il se targue ne comportant aucune
espèce
de vérité pratiquement contraignante, éthique (analogue à la vérité c
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it le droit en spécifiant qu’il n’assumait aucune
espèce
de responsabilité. S’il croyait sérieusement que cet homme est juste,
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ces débats et sous la pression populaire, en une
espèce
de nuit du 4 août de la pensée, abdiquant tous ses privilèges pêle-mê
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. Cela n’est pas invraisemblable : abdiquer toute
espèce
de conscience est une tentation fascinante pour l’homme qui a mauvais
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dur, tout travail difficile, tout travail, toute
espèce
de travail se fait d’abord contre nous-mêmes et contre Quelqu’un, tou
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malédiction), jusqu’à ce que tout à coup, par une
espèce
de renversement, la bénédiction intervienne, tout à coup il y ait cet
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a part de l’homme qui résiste, en créant, à toute
espèce
de dictature. De cette insuffisance de l’idéal — et non pas des moyen
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: l’Europe d’aujourd’hui. Dans cette Europe, deux
espèces
de nations : celles qu’on dit vieilles, et celles qui se disent rajeu
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Gide, l’avant-propos de son petit livre et cette
espèce
de happy end que figure le dernier paragraphe, il paraîtrait qu’il s’
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loin ! » Je demande alors si Gide pratique cette
espèce
-là d’autocritique, — ou s’il entend pousser plus loin ? Si Gide reste
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tique, contredite par les faits connus. C’est une
espèce
d’acte de foi. Ou mieux : un négatif de l’acte de foi chrétien. Si l’
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osse. Une puissance inexorable s’est emparée de l’
espèce
, tourmente les bêtes, les essouffle et les esquinte, les rend crainti
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l’on déduit qu’il en possède aussi le droit, une
espèce
de droit naturel. Or on a vu des États minuscules, Venise et Berne, l
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urope qu’on a coutume d’invoquer pour justifier l’
espèce
d’exterritorialité dont jouit la Suisse sur le continent, nous le voy
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llement, comme certains voudraient le croire, une
espèce
de juste milieu entre les excès déplorables de l’individualisme bourg
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Rien n’est plus agaçant pour l’étranger que cette
espèce
de suffisance moralisante, que ces conseils de fermeté ou ces protest
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r militaire d’ailleurs bien moindre). Enfin cette
espèce
d’enthousiasme entretenu dans certains milieux79 autour de ce qu’on y
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n de l’homme incroyablement étriquée, devient une
espèce
d’asepsie qui tue les germes de toute création. (La culture suppose p
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it donc sanctifier les intérêts fondamentaux de l’
espèce
et les intérêts de la cité. Celui qui contrevenait à ce triple engage
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ires sur la sainteté de la procréation — loi de l’
espèce
— et sur la sainteté de la virginité — loi de l’esprit. Pour l’Ancien
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forces en présence : d’une part, une morale de l’
espèce
et de la société en général, mais plus ou moins empreinte de religion
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age ». Mais je doute fort qu’il en résulte aucune
espèce
de solution pratique : car seul le mythe, c’est-à-dire l’inconscience
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l’inconscience pourrait fournir à la passion une
espèce
de modus vivendi, et tous ces livres aggravant au contraire notre con
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adence de la personne chez les modernes, et d’une
espèce
de maladie de l’être. Presque toutes les complications qui servent d’
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es problèmes individuels tendaient à perdre toute
espèce
de dignité, de légitimité et de virulence anarchisante. Certes, l’All
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des millénaires à la nature pour sélectionner les
espèces
qui nous paraissent adaptées. Et nous aurions la prétention de résoud
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une œuvre. Car la fidélité n’est pas du tout une
espèce
de conservatisme. Elle est plutôt une construction. « Absurde » au mo
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issance de leur piété… 94. Plus on s’écarte de l’
espèce
pour se rapprocher de la personne, plus le choix devient singulier. À
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ieux ? » Certains seront tentés de répondre que l’
espèce
de paralysie dont souffre le mouvement personnaliste s’explique par u
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vers le moi rêvé de celui qui s’exalte. C’est une
espèce
de narcissisme. Le seul amour qui tende vers Dieu et qui l’atteigne à
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et délèguent tout pouvoir à l’État, qui est en l’
espèce
un nouveau chef de gouvernement. Ce dernier pris au dépourvu change s