1 ns le jeu de synthèses successives, il achemine l’ espèce vers un équilibre final, réplique morne et désespérée du millenium ch

2 dre parler certains chrétiens, que la foi est une espèce d’inspiration flottante, difficile à localiser et beaucoup trop impré

3 et classées d’avance ! Comme si la foi était une espèce de puissance continuellement disponible entre nos mains incertaines,

4 mps et l’Histoire. Sa dialectique est devenue une espèce de bascule automatique. Le tragique s’évanouit, le choix s’élude, la

5 ophismes logiques, ce sont autant de formes d’une espèce de fuite en avant, autant de tentatives angoissées pour opposer à la

6 du mal, la conscience du danger s’obscurcit. Une espèce d’indifférence monstrueuse se répand chez les civilisés. Formulée d’a

7 urons deux images d’un semblable égarement. Cette espèce -là de paganisme rassuré n’est pas le fait des seuls païens de notre é

8 ler, et n’ayant avec tout ce qui n’est pas de son espèce que les rapports arides et fixes que l’utilité l’invite à établir ent

9 n écrire d’autre que ce qui pourrait désespérer l’ espèce d’hommes qui “se hâte”. » 15. I Pierre 3 :15. Version de Calvin. 1

10 me temps dans lequel nous vivons, mais bien trois espèces de temps distinctes. D’où il résulte que l’on ne peut pas passer de l

11 excusez pas, j’ai surmonté depuis longtemps toute espèce d’amour-propre en ces matières ! —, un jugement si désobligeant, dis-

12 ntôt la science universelle du même auteur. Cette espèce de cacophonie, vous le savez, est assez habituelle dans les entretien

13 libérément tragiques ne firent qu’aviver en moi l’ espèce d’angoisse sur laquelle m’avait laissé le monologue de Nicodème. Au p

14 ouvons lors du Baptême et de la Cène n’ont aucune espèce d’importance. Dieu fait pour nous, à ce moment, ce que Nicodème et to

15 donc on veut s’imaginer qu’en ne recevant qu’une espèce , on ne reçoit qu’une cène et une communion imparfaites, c’est qu’on n

16 concile pour interdire la communion sous les deux espèces est celle-ci : Jésus a dit : « Celui qui mange ma chair et qui boit m