1 1946, Journal des deux mondes. Le bon vieux temps présent
1 ’assurer : il y faut ce climat sentimental, cette espèce de naturel qui naît d’une entente tacite, d’une confiance, presque d’
2 1946, Journal des deux mondes. Journal d’attente
2 , que je commence ici, pour la première fois, une espèce de journal d’attente, — comme on parle d’une salle d’attente. Entre d
3 ains, entre deux œuvres, mais surtout : — entre l’ espèce de paix que nous laissa l’hiver et la guerre qui revient nous avertir
4 quences, et la guerre est la suppression de toute espèce de conséquences, la privation, d’ores et déjà, de tout avenir imagina
5 aissent d’un désir secret, d’une tentation, d’une espèce de dépit amoureux de la révolution manquée par nous, mais séduite et
3 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
6 Böcklin manque de sobriété, Hodler aussi. D’où l’ espèce de niaiserie qui affecte essentiellement les solennelles démonstratio
4 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
7 se remplit de quartiers de viande de cinq ou six espèces , qu’on rôtit à la braise dans une cour : cela s’appelle un asado. On
8 . Mon guide, qui savait en nommer une trentaine d’ espèces différentes, prétend qu’il y en a des centaines. On passerait une vie
9 e la philosophie, puisque vous me demandez quelle espèce . Vous savez ce que c’est que l’existence ? C’est de quoi je m’occupe.
5 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
10 in ouvre le champ d’une course nouvelle, rend une espèce de liberté qu’ils ne pouvaient pas même imaginer la veille… Qui sait
6 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
11 fortable à leur sens. (Seuls les Européens de mon espèce aiment les maisons trop grandes, en Amérique). L’un des maris se nomm
12 harbon, qui est censé chauffer l’appartement, une espèce de baignoire couverte et fort étroite se dresse sur quatre pieds de f