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u principe de ses péripéties l’on peut imaginer l’
espèce
d’ardent désir d’un accord à la quête de sa résolution… Pourtant l’Oc
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e cycle était — ou paraissait — déterminé par une
espèce
de logique, qu’on peut déduire empiriquement de l’histoire. Voici le
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bourgeois, déviationnistes et saboteurs de toute
espèce
qui fournissent la main-d’œuvre du travail forcé, forme la masse des
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e guerre), de se sentir comme transporté dans une
espèce
de transcendance. À vrai dire, il s’agit encore d’un égoïsme, mais te
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ël. Et certes, l’Évangile ignore absolument toute
espèce
de doctrine de l’Histoire : il annonce la Résurrection, qui est victo
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on des dimensions du passé et de l’avenir : cette
espèce
de congélation du temps a pour effet d’éliminer le devenir. Mais la R
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ésespère de ses pouvoirs d’innovation et de toute
espèce
de recours au transcendant libérateur. Engendrer l’utopie est un mouv
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élément polémique ait été moins déterminant que l’
espèce
de fascination qu’exerçaient les progrès accélérés de l’exploration d
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nt de vue, au nom duquel on pouvait écarter toute
espèce
« d’hypothèse mystique ». Mais pendant que se vulgarisait dans les co
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Derrière cette campagne unanime, distinguons deux
espèces
de motifs allégués. On proteste au nom de l’Esprit (spirit) ou tout s
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par Scheler et Schubart, on nous a représenté une
espèce
d’homme de proie qui se jette sur la Nature pour la soumettre à sa «
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uire qu’à la condamnation et à l’abandon de toute
espèce
d’effort technique. Devant cette même Nature désormais réprouvée par
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technique et scientifique. Darwin l’applique aux
espèces
vivantes ; d’autres, un peu plus tard, aux civilisations, aux morales
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expressions aussi courantes que « l’évolution des
espèces
animales » ou que l’évolution d’une maladie, d’une individualité, d’u
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pe bien plus qu’en Amérique, nous souffrons d’une
espèce
d’inquiétude essentielle. Nous ne cessons de parler du « désarroi de