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, mais les philosophes distinguèrent entre quatre
espèces
de philia : la philia naturelle ou parentale (physikè) unissant les ê
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L’amour est à réinventer », disait Rimbaud. Cette
espèce
-là de révolution psychique n’a qu’un précédent dans l’histoire de la
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ogie et la théologie, au-delà des nécessités de l’
espèce
, mais en deçà du Bien et du Mal, sans lois ni dogmes, mais non sans s
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sence, ici très frappante, non seulement de toute
espèce
d’impureté sentimentale, mais aussi de tout horizon spirituel, réduit
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u’il s’agit de bannir de leurs rapports par toute
espèce
de variantes physiques ou psychiques. Mais le besoin de passion, ren
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, aux yeux de l’écrivain et du lecteur, que toute
espèce
d’inceste ou de passion maudite ? L’érotique du mariage est une terre
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t, du commencement à la fin, familière avec toute
espèce
de souffrance — avec les luttes intérieures, avec la crainte et le tr
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e ne voir en lui que le feu naturel du désir, une
espèce
d’animalité véhémente, et comme innocente… Mais jamais la Nature n’a
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r les cartes des « valeurs » invisibles au lieu d’
espèces
sonnantes. Alors la tricherie cesse d’être une habileté vulgaire et p
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urse. Au contraire, Tristan vient en scène avec l’
espèce
de lenteur somnambulique de celui qu’hypnotise un objet merveilleux,
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ion unitaire et son refus de composer avec aucune
espèce
d’opposition. Ce qui le distingue de tout autre régime — quelles que
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té seule « vraie » ne peut être le terme d’aucune
espèce
de revendication, nécessairement tournée vers l’extérieur, vers les v
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s. L’alternance, et la fuite de l’âme Cette
espèce
de sécurité dans l’alternance de ses moi dissociés — j’allais dire qu
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éférait parler de son « refus d’accueil » à toute
espèce
de réalité inaccessible au « raisonnable ».) Je distingue mieux, aujo
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traduction81, lorsque j’essaie de me remémorer l’
espèce
de choc que j’en reçus, à 25 ans, un seul mot me vient à l’esprit : a
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r incomparable. Et de même, son œuvre défie toute
espèce
de catégorie. Ni philosophe professionnel, ni romancier, ni dramaturg
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us ou moins raisonnable et simple exemplaire de l’
espèce
. Pour saint Paul, le vrai moi est l’homme nouveau, « appelé » par un
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à des fins nouvelles qui ne sont plus celles de l’
espèce
mais de la personne, la sexualité mérite ce nom d’amour que lui donne
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t simplement déterminé par le renouvellement de l’
espèce
, le désir sensuel-érotique est devenu force libre, autonome, et qui a
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homme était un prophète, il connaîtrait de quelle
espèce
est la femme qui le touche et que c’est une pécheresse. Jésus lui dit