1 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. L’économie
1 une fuite en avant vers le suicide collectif de l’ espèce  ? Une question transparaît en filigrane derrière ces doutes : « Quand
2 a Coopération : communistes et conservateurs de l’ espèce dure votent ensemble sur tous ces choix — qui sont les choix fondamen
3 ésarmement nucléaire, condition de la survie de l’ espèce humaine en tant que civilisation. Il est temps de libérer l’économie
4 ession de la guerre, c’est-à-dire du suicide de l’ espèce , il est temps de l’ordonner aux buts humains, mais aussi aux limites
2 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. L’environnement
5 i écologique répond à l’extinction de centaines d’ espèces animales (baleines, éléphants, phoques, papillons…), à l’accumulation
6 ontre les communautés, contre la physiologie de l’ espèce et de l’individu sont analogues aux rapports entre la médecine et les
7 , et de la mortalité infantile. 7. L’extinction d’ espèces animales et végétales. Pour l’Europe du Nord : harengs, baleines, ins
8 s dans ces deux régions, deux-cents à trois-cents espèces sont menacées d’extinction. 8. Les mégalopoles invivables de 2 à 13 m
9 onnement ou pour les humains. 7. Le sauvetage des espèces animales : baleines, phoques, éléphants, tigres, ocelots, etc., etc.,
10 ’urbanisme, de sols, de mers, ou de sauvetage des espèces . Ces conditions de réalisation de mesures conservatoires de l’homme,
3 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. Les régions
11 sus. Elles tuent, peut-être pour longtemps, toute espèce de vitalité, de spontanéité civique. C’est alors au sein des États-na
12 ’elles ont été causées par le refus buté de toute espèce de solution fédéraliste, de toute reconnaissance réelle du droit des