1
s dans une vie, que le mal finira par révéler une
espèce
de consistance propre, — apparence encore, mais active, contre nature
2
r le mensonge, par essence, n’est pas ! C’est une
espèce
de décréation. C’est le trompe-l’œil et le sonne-creux de l’invention
3
égoïstes avec passion, et n’ont en général aucune
espèce
de trouble de conscience. Elles ne conçoivent pas le diable comme l’i
4
l agit de soi-même et sans Auteur, en vertu d’une
espèce
d’inertie ou de force de l’habitude. Une coutume du mal nous habite,
5
’égoïsme, vols, trahisons et méchancetés de toute
espèce
. Il est possible que le diable en personne ne se dérange pas pour si
6
rd l’avait peut-être reconnu précisément sous les
espèces
de l’encre d’imprimerie, lorsqu’il notait qu’on ne peut plus prêcher
7
nsent pour l’avoir éprouvé en sa présence par une
espèce
de frisson d’horreur sacrée, qu’il était le siège d’une « domination
8
dis là serait du romantisme de la plus déplorable
espèce
si l’œuvre accomplie par cet homme — et j’entends bien par cette puis
9
iaque pour avoir su réveiller nos démons, par une
espèce
de contagion, ou plutôt d’induction spirituelle. Son œuvre de tentate
10
mais bien les justifications qu’il en donna, et l’
espèce
de douceur médiumnique dont il la revêtit aux yeux de son peuple. De
11
stance, au scepticisme général, combinés avec une
espèce
de soulagement physiologique. Mais dans les peuples régnera l’Ennui.
12
tait pas la confiance naïve de l’enfant, mais une
espèce
de mensonge. Exactement : une fuite devant le réel. Car dans le réel
13
Elle oppose des conceptions de la vie. C’est une
espèce
de guerre civile mondiale. Elle sera perdue si nous perdons d’abord l
14
effet une démocratie quelconque. Supprimez toute
espèce
d’humour aussi bien dans sa vie quotidienne — rouspétance du citoyen
15
ouvelle barbarie. Je ne puis la comparer qu’à une
espèce
de carie de l’intelligence, qui nous empêche de mastiquer et de digér
16
passion toujours fuyante, j’y vois le signe d’une
espèce
de névrose ou de vertige épidémique : le besoin d’être dépossédé de s
17
r, ou qui n’est pas armé pour composer avec cette
espèce
-là de mal, il risque d’altérer ou de détruire l’objet de sa tendresse
18
à l’acte sexuel la gravité d’un engagement, cette
espèce
d’insouciance morale se traduit moins par une libération que par une
19
t créé dans nos mœurs un malaise fondamental. Une
espèce
de révolte sourde anime la femme contre sa condition. Dans cette libe
20
Saint. Seul un saint serait à la hauteur de cette
espèce
d’héroïsme dans le mal que déploie de nos jours l’adversaire. Voilà l
21
Le xxe siècle apparaîtra dans l’avenir comme une
espèce
de cauchemar verbal, de cacophonie délirante. On y parlait plus qu’on
22
eut voir une statue du diable Créateur. C’est une
espèce
de Prométhée. J’ai cru voir la même à Catane, au pied de l’Etna : mai
23
mbe pulvérisait Hiroshima et les prophètes de mon
espèce
. Aujourd’hui que chacun la possède et cherche les moyens de ne pas s’
24
niverselle mais souterraine propagation de toutes
espèces
de religions gnostiques, dont la fonction sera de libérer l’esprit de
25
r le mensonge, par essence, n’est pas ! C’est une
espèce
de décréation. C’est le trompe-l’œil et le sonne-creux-de l’invention
26
re à notre perte, celle des personnes, celle de l’
espèce
. Le diable est là. On craignait l’incendie, on attendait l’éruption v
27
je sens bien que vous pensez que j’en ai fait une
espèce
d’abstraction. Mais ce sont là ses voies et ses déguisements. Il ne l
28
devant Dieu et la fierté de la personne devant l’
espèce
et l’uniforme. Mais le diable nous dit : Et d’abord qui es-tu ? Es-tu