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t que plus grande est la perfection ontique d’une
espèce
, plus grandes sont aussi les différences distinguant entre eux ses in
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t que, par conséquent, le granit, la lavande et l’
espèce
canine alignent, à tour de rôle, ses individus, « uniques et non réit
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utre part un certain esprit frondeur contre toute
espèce
de pouvoir personnel, que ce soit donc celui d’un dictateur ou celui
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-même. C’est donc un esprit frondeur contre toute
espèce
de pouvoir personnel, mais néanmoins pas un esprit démocratique : des
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me universitas ne désignera plus n’importe quelle
espèce
de communauté, mais surtout, et finalement exclusivement, les communa
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artiers de banlieue, bien entendu. C’est donc une
espèce
de lèpre de pierre et de fer, qui se répand autour des grandes villes
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qui les fait s’éloigner augmente. C’est donc une
espèce
d’univers en expansion que nous avons dans le savoir et dans l’univer
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homme, on peut dire que Descartes a introduit une
espèce
de schizophrénie dans la conception de l’homme, qui a été fort utile
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ui du pape. Ce dogme ruine dans le principe toute
espèce
de droit international, et, en fait, ôte toute efficacité à des contr
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ar leur expansion coloniale, impérialiste — cette
espèce
de piraterie légalisée —, tendant à renforcer chaque État, mais aussi
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de communication). On arrive ainsi à créer cette
espèce
d’unanimité qu’on appellera l’âme nationale. Tout cela fleurit vers 1
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n excès d’individualisme conduit les hommes à une
espèce
de vertige ; cela les conduit à rechercher un cadre fixe et stable, d
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ue. 24 avril 1970 Rien n’est plus hostile à toute
espèce
d’union, tant soit peu sérieuse ou sincère, que cet État-nation qui,
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venir aux souverainetés nationales. Il y a là une
espèce
de dialectique fatale. Si on veut aller trop loin dans le sens du cen
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volution vers la nation n’est pas seulement cette
espèce
de maladie que l’on dénonce aujourd’hui trop fréquemment chez les féd
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pe. 1er novembre 1968 En Europe, il y avait trois
espèces
de nations, définies par rapport au Saint-Empire : les nations qui fa
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eulement système politique. 28 octobre 1966 Cette
espèce
de répugnance à se laisser définir que montre le fédéralisme est très
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arrêter à un certain moment, sinon on devient une
espèce
d’hégémonie (aujourd’hui, on dirait État-nation) par rapport aux autr
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révolution, contre le refus fondamental de toute
espèce
de nouveauté, refus qui caractérise toutes les religions et civilisat
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de choisir leur avenir, de choisir l’avenir de l’
espèce
humaine, et voilà le paradoxe : pour la première fois dans l’histoire
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ue la logique juge incompatibles. Il y a donc une
espèce
de rencontre, de convenance essentielle, entre personne et fédéralism
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te et de toutes les civilisations asiatiques, une
espèce
d’homme nouvelle qu’on appellera plus tard le savant, qu’on appelait
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qu’un homme est chassé de la tribu et devient une
espèce
de paria. Il se réunit alors avec d’autres pour former des sociétés q
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, de mélanger toutes les langues, d’arriver à une
espèce
d’esperanto ; il s’agit de s’arranger avec des langues différentes, c
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Ce n’est donc pas un simple homme, individu de l’
espèce
, mais un compagnon, un associé. Le citoyen althusien se rapproche bea
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nstrument de l’idéologie. Le tout au nom de cette
espèce
de religion laïque qu’est la nation. Ce parti au pouvoir confond dans
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es États-nations, on ne peut plus imaginer qu’une
espèce
de lente et inexorable colonisation économique par l’Ouest et politic
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ants : il désignait, comme le mot « nation », une
espèce
de symbole de la nouvelle communauté que l’on recherchait. Avec la Ré