1 1942, La Vie protestante, articles (1938–1978). Perspectives d’avenir du protestantisme (2 janvier 1942)
1 munauté libre et pourtant bien liée, fondée sur l’ espérance de l’Esprit et non pas sur les fatalités du passé, ouverte à la volon
2 s politiques. J’aime évoquer, en terminant, cette espérance d’une réunion de toutes les confessions chrétiennes. Car en nous fais
2 1965, La Vie protestante, articles (1938–1978). « Que signifie pour vous la formule célèbre ‟Ecclesia reformata semper reformanda” ? » (29 octobre 1965)
3 omporte, et en même temps reliés sans relâche à l’ espérance de l’Église universelle, à l’avenir catholique, et orthodoxe, à la Pe
3 1978, La Vie protestante, articles (1938–1978). « Bof ! disent les jeunes, pourquoi ? » (1er décembre 1978)
4 sponsabilité ; c’est bien parce que vous avez une espérance . Laquelle ? À des gens qui me disaient : « Pourquoi voulez-vous absol
5 que chose qui est plus fort que moi, et qui est l’ espérance . C’est une volonté, un désir éperdu que la vie continue. Je ne sais p
6 que la vie continue. Je ne sais pas si c’est une espérance chrétienne, c’est quelque chose qui m’est plutôt chevillé au corps. C
7 i va se passer après), et c’est peut-être aussi l’ espérance dont parle saint Paul. Ou tout simplement l’espérance que, par notre
8 rance dont parle saint Paul. Ou tout simplement l’ espérance que, par notre action, nous pouvons faire du bien, pas seulement du m
9 de tout est pourtant un courant d’optimisme et d’ espérance  ? Oui ! Si j’étais totalement pessimiste, si je pensais qu’il n’y a p