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munauté libre et pourtant bien liée, fondée sur l’
espérance
de l’Esprit et non pas sur les fatalités du passé, ouverte à la volon
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s politiques. J’aime évoquer, en terminant, cette
espérance
d’une réunion de toutes les confessions chrétiennes. Car en nous fais
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omporte, et en même temps reliés sans relâche à l’
espérance
de l’Église universelle, à l’avenir catholique, et orthodoxe, à la Pe
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sponsabilité ; c’est bien parce que vous avez une
espérance
. Laquelle ? À des gens qui me disaient : « Pourquoi voulez-vous absol
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que chose qui est plus fort que moi, et qui est l’
espérance
. C’est une volonté, un désir éperdu que la vie continue. Je ne sais p
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que la vie continue. Je ne sais pas si c’est une
espérance
chrétienne, c’est quelque chose qui m’est plutôt chevillé au corps. C
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i va se passer après), et c’est peut-être aussi l’
espérance
dont parle saint Paul. Ou tout simplement l’espérance que, par notre
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rance dont parle saint Paul. Ou tout simplement l’
espérance
que, par notre action, nous pouvons faire du bien, pas seulement du m
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de tout est pourtant un courant d’optimisme et d’
espérance
? Oui ! Si j’étais totalement pessimiste, si je pensais qu’il n’y a p