1 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
1 u’il est dans la réalité de sa détresse et de son espérance  ; et si l’Éros n’a pas de prochain, — n’est-on pas en droit de conclu
2 ances païennes refoulées devinrent le refuge et l’ espérance des tendances naturelles non converties, mais brimées par la loi nouv
2 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
3 — Mes bien-aimés, ores souffrez en paix que votre espérance demeure, autant qu’il me plaira, là où se trouve plus d’un qui s’atte
4 et qui dira dans l’enfer : — Ô maudits, j’ai vu l’ espérance des bienheureux ! S’agit-il donc de Béatrice comme femme ? Est-ce sa
5 e que tous les saints implorent et qui serait « l’ espérance des bienheureux » ? Ou s’agit-il plutôt de l’Esprit saint soutenant s
6 n droit sentier Et fait que je marche fier de mon espérance . Où Pétrarque triomphe, c’est quand il prend la harpe de Tristan123,
7 oi seule dans le pardon. Voici la conversion de l’ espérance qui trouve enfin son objet véritable : Or lève-toi vers un espoir pl
8 où déjà vibre la réalité d’un indicible au-delà d’ espérance . Et c’est pourquoi le leitmotiv du duo d’amour est déjà celui de la m