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iseraient tout simplement une énergie renouvelée.
Essayons
d’inventer autre chose. Ne jouons pas le jeu. Imitons les paysans du
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ture. L’adversaire est en nous Mais d’abord,
essayons
d’écarter un malentendu menaçant. La bataille dont je vais vous parle
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le cerveau ? Nous voyons bien où il nous a menés.
Essayons
de voir d’où il vient. Le phénomène le plus remarquable des débuts du
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t pour décrire ses remèdes, mais surtout pour les
essayer
sur nous d’abord. À la recherche de l’homme réel … Sur quel pri
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critiquer vainement. Mettons-nous au travail pour
essayer
de refaire, avec ce dont nous disposons, quelque chose de plus solide
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t allons-nous justifier, aux yeux de l’Europe qui
essaie
de se fédérer, cette raison de nous tenir à l’écart ou de bénéficier
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Il serait donc temps qu’en Suisse au moins, l’on
essaie
de comprendre un peu mieux les raisons véritables de ce statut spécia
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945. Il n’est donc plus question pour la Suisse d’
essayer
de maintenir sa place centrale et réservée dans le jeu des puissances
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d’équilibre européen. Il y a l’Europe entière qui
essaie
de survivre et de s’unir contre un danger commun. Nous sommes tous da
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e défense unifié. Vous le voyez, la réponse que j’
essaie
de trouver n’est pas simple. Si l’effort militaire considérable que n
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u but, oubliez le reste. Et maintenant vous allez
essayer
. Vous avez le noir ?… Vous ne voyez plus que le noir ?… » Je n’entend
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puis s’arrêtait, dansait de nouveau, s’embuait. J’
essayais
de le rejoindre du regard, de l’aspirer, de le fasciner vers moi tand