1 1947, Vivre en Amérique. Prologue. Sentiment de l’Amérique
1 as, de se croire obligés de prendre position ou d’ essayer de m’influencer par quelques remarques ironiques pour m’accorder à le
2 1947, Vivre en Amérique. Vie politique
2 plus de nous en réjouir que de nous en méfier. J’ essaierai de suggérer ces motifs au cours des chapitres suivants. Car si nous r
3 ue de la lutte que soutient l’Empire britannique, essayons de comprendre les raisons de la santé démocratique des USA. Un organi
4 alement indescriptible dont le Contrôleur général essaie de donner une idée dans le bref article que je citais : « Prenez le p
3 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
5 ir d’un bon garçon bien correct et bien banal. On essaie de parler musique, Mozart et Stravinsky — deux des principales victim
6 en trois mots : — Messieurs, sabrez vos budgets ! Essayez de faire pour une fois : « le film le meilleur marché du monde », au
4 1947, Vivre en Amérique. Vie privée
7 une nature différente — et c’est la seconde que j’ essaierai de décrire. De la passion Je pense que l’Amérique en tant qu’am
8 étique et d’une partie de la jeunesse européenne. Essayons de le définir en quelques traits. Perte du sens tragique de l’amour ;
5 1947, Vivre en Amérique. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
9 a durée maxima des baisers à l’écran, parce qu’il essaie de satisfaire des exigences contradictoires, il devient « hypocrite »
10 . On dit chez nous : il ne sait ce qu’il veut, il essaie un peu tout, il n’arrive pas à se fixer. « Avoir fait tous les métier
11 méricain. Soyez calmes, sans froideur mesquine, n’ essayez pas d’en imposer. Supprimez les formules du type : « Je m’excuse de v