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ns ce cas, n’est-ce pas détruire son charme que d’
essayer
de l’analyser ? Nous n’en sommes plus à croire que mythe est synonyme
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ons. Sourds et aveugles aux « charmes » du récit,
essayons
de résumer « objectivement » les faits qu’il nous rapporte et les rai
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l’on déplore sa décadence à l’instant même où il
essaie
maladroitement de se réaliser ? D’autre part, la chance du roman n’es
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ela tient à l’essence même du phénomène dont elle
essaie
de rendre compte : à la fois historique et archétypique, psychique et
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me, fortement attestée dans la vie même des âmes.
Essayons
à nouveau de repérer, entre les pointes et les oscillations extrêmes
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conscience qui ne pouvait être la sienne. Si l’on
essaie
de se replacer dans l’atmosphère du Moyen Âge, on s’aperçoit que l’ab
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tre ! Disons plutôt qu’on voit trop bien ce qu’il
essaie
de nous dissimuler. Lui aussi, il ne veut que « brûler » ! Mais il ne
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», et les idéaux « impossibles ». Bientôt, l’on n’
essaiera
plus même de nier la complaisance que réclame de ses propres victimes
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éraux de Louis XIV et de Louis XV ? C’est d’avoir
essayé
de faire la guerre en tuant le moins d’hommes qu’ils pouvaient. Or c’
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i dépassement entretenu par le souvenir du mythe.
Essayer
de prendre conscience de la nature du phénomène, c’est à quoi se résu
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ant : « Mon amie et moi voulons nous marier. Nous
essayons
de trouver un juge de paix. N’est-ce pas une urgence »211 ? Les opéra
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s nos révoltes, nos illusions naïves, nos péchés.
Essayer
de résoudre notre crise du mariage par des mesures morales, sociales
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ion !) Les moralistes et certains sociologues ont
essayé
de prouver que la monogamie est naturelle, et de plus qu’elle est sal
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et d’en attendre un mystérieux surcroît de vie. J’
essaierai
de le faire concevoir par l’examen d’un fait connu. Le christianisme