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leurs tâches privilégiées que de les étudier et d’
essayer
d’y trouver des solutions à leur étage. 9 décembre 1966 On parle beau
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ype social en vigueur, et par la seconde, on veut
essayer
de l’en libérer. Dans l’idéal de l’éducation européenne, ces deux ten
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la diversité réelle des personnes ? En somme, on
essaie
(ce qui est à peu près impossible logiquement) de penser ensemble des
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nt de mise en ordre géométrique de l’homme et qui
essaient
de protester, chacun à sa manière, par des cris d’autant plus perçant
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x Européens avant que toutes les folies aient été
essayées
par eux, aient prouvé qu’elles étaient véritablement des folies, aien
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nfin, le fédéralisme, ou les réalisations qu’on a
essayées
du fédéralisme au xixe siècle, notamment les États-Unis et la Suisse
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i celui de beaucoup d’observateurs — est que l’on
essaiera
plus ou moins sincèrement de faire certaines alliances, que l’on nomm
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rt Hegel dans ses conversations avec Marx. Marx a
essayé
d’expliquer la doctrine de Hegel à Proudhon, qui a été séduit au débu
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les conditions d’hégémonie pour un État-nation ou
essayer
de se rendre utile, voire indispensable aux voisins. Se préparer à ga
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mpte d’autres problèmes jugés plus importants. On
essaie
de faire croire que la politique que l’on adopte est « dictée par le
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en tension quand il y a des antinomies, et ne pas
essayer
follement d’éliminer un des deux termes. On n’y arriverait pas. Preno