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us dans le cas particulier, valdensis serait plus
exact
— cette idée m’est tellement étrangère que je crains de ne pouvoir re
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ement vraies en gros dans le domaine des sciences
exactes
(mathématiques, physique, chimie) et des sciences naturelles (biologi
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sur la nécessité d’un langage commun aux sciences
exactes
, aux arts et à la théologie, ainsi Descartes dès 1625, puis Leibniz e
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’il a toujours suivi — avec autant d’audace que d’
exacte
obéissance aux signes devinés — ce qu’il faut bien que j’appelle ici