1 issent plus aucun chemin. Comment marcher, s’il n’ existe pas de chemin ? disent-ils dans leur suffisance — car on appelle ains

2 is la Parole n’est dite que dans la foi, la foi n’ existe que dans l’acte, et cet acte devient alors notre chemin et notre loi.

3 Dieu initie. 4. « Par rapport à l’absolu, il n’ existe qu’un seul temps : le présent »9 Nous ne connaissons rien du Chri

4 ’est du latin » pour ses oreilles, mais encore il existe autant de ces latins-là que de chapelles littéraires, que d’écoles ph

5 1936-1937)a Nous partons de l’impression qu’il existe , entre certains systèmes qu’on a coutume d’opposer très nettement les

6 rque de l’humanité. Mais, d’autre part, l’homme n’ existe personnellement qu’autant qu’il s’affirme en acte. Quand on parle de

7 l’étreinte. Et pourquoi la pudeur cesse-t-elle d’ exister — normalement — quand deux êtres s’aiment ? Parce que le sexe reprend

8 le d’un défaut inhérent au monde. Connaître qu’il existe un mal universel, et qu’il faut donc transformer toutes choses, tel e

9 , tout comme le chrétien, a reconnu que l’homme n’ existe pas isolément, qu’il est un être « en relation », qu’il est lié à une

10 t ans, mille ans ou deux-mille ans ? — et ne peut exister hic et nunc. Comment l’opposition radicale de ces deux fins, la tempo

11 i en soi, abstraite des fins pour lesquelles elle existe . C’est l’idolâtrie qui consiste à soumettre l’homme à la « lettre » d

12 ant vers le néant, en sorte que Dieu, vraiment, n’ existe plus pour toi ? Fermer les yeux sur une réalité, ce n’est pas la supp

13 peut aussi nier l’éternité, et affirmer que seul existe notre temps. Dans ce cas, tu n’as rien prouvé. L. — On ne prouve rie

14 qu’une ironie. Car peut-être que l’acte de foi n’ existe pas, n’est qu’une figure de rhétorique pieuse, une illusion, un mythe

15 e « vrai » sérieux. Mais peut-être aussi cet acte existe-t -il, quelque part, et alors il n’y a pas de vrai sérieux dans ma vie t