1 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
1 je me borne à constater, pour le moment, qu’elle existe et que c’est grâce à elle que de Man a pu découvrir les vices constit
2 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
2 onstater. Je dis enfin que si ces deux critères n’ existent pas ou cessent d’exister, la mesure d’une société se détruit d’elle-m
3 si ces deux critères n’existent pas ou cessent d’ exister , la mesure d’une société se détruit d’elle-même, fatalement. C’est le
3 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Décadence des lieux communs
4 ’est du latin » pour ses oreilles, mais encore il existe autant de ces latins-là que de chapelles littéraires, que d’écoles ph
4 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure soviétique
5 e travail parfois beaucoup plus dur que celui qui existe encore dans les pays capitalistes. L’avantage d’une commune mesure do
5 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
6 ion de l’Allemagne. C’est que la nation française existe depuis 1789 ; et qu’elle existe même si réellement qu’elle trouve mau
7 nation française existe depuis 1789 ; et qu’elle existe même si réellement qu’elle trouve mauvais que l’on affirme en général
6 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — commune mesure et acte de foi
8 omme. Mais, d’autre part, cette vérité dernière n’ existe vraiment qu’au lieu et à l’instant précis où je lui obéis en fait. L’
7 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
9 alitaire. Là où depuis cent ans ou plus la nation existait déjà, la crise est bien moins virulente, et la réponse a plus de pein
10 national-socialisme. Mais là où le cadre national existait depuis un ou deux siècles, ces religions ne sauraient combler l’atten
8 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Préambule
11 e nuancer des valeurs reconnues de tous — elles n’ existent plus —, mais il s’agit de rétablir ou d’établir une hiérarchie, et d’
9 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
12 s fondamentales sont reconnues. Je doute qu’il en existe de cette sorte parmi nous. Mais au moins trouverons-nous un arbitre q
13 si bien de ce contrôle. Non point qu’aucune force existe sans mesures, mais le choix qui importe est celui-ci : préfère-t-on l
14 e situation que nous partons. C’est parce qu’elle existe autour de nous, et nous en elle sans trop le savoir peut-être, c’est
15 t toujours se délivrer de telles gênes, etc. » Il existe quelques raisons pourtant, de redouter que la piètre envergure de ces
10 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
16 ver, comme Diogène le mouvement, que cette mesure existe , qu’elle a un sens. Or, pour qu’une chose, ou une action ou une réali
17 fus d’agir et de se risquer dans les conflits qui existent , ou que la pensée crée, la mission d’une culture nouvelle sera d’acce
18 e que l’Éthique possède en soi une certitude ? Il existerait alors une chose au moins que le doute ne pourrait atteindre » Mais qu
19 ut me devient étranger — tout et moi-même. Car où existerai -je si je n’ai plus rien contre quoi je puisse concrètement m’exercer 
20 qu’il ne peut être décrit en général, puisqu’il n’ existe jamais que hic et nunc et dans des circonstances toujours particulièr
21 ar ils ont en commun cette illusion que les idées existent indépendamment des faits. Les premiers y voient la garantie de ce qu’
22 iquera au moins ce qu’ils ne doivent pas être. Il existe une espèce d’imagination que l’on peut qualifier de conformiste : ell
23 écrit traduira les catégories dans lesquelles il existe en réalité. Ou plutôt, il est presque certain qu’il les traduira dans
24 s, rassurante perspective, puisqu’on sait qu’il n’ existe pas d’héroïsme collectif. Le héros, par définition, est toujours seul