1
e drame, rendu visible, et c’est dans le drame qu’
existe
la vérité totale d’un être. Dans ce témoignage des formes, chercher l
2
que Freud appelle le « surmoi » ? A-t-elle jamais
existé
dans l’histoire ? Un homme a-t-il jamais reçu le don terrible d’incar
3
it. Il s’agit là d’une équation fondamentale de l’
exister
, dont la critique personnaliste a pour objet de rechercher les élémen
4
es. Il n’est pas de grandeur perceptible, là où n’
existent
pas de mesures. Mais où chercher, chez Goethe, les éléments de tensio
5
lui un problème moral : étant donné que la magie
existe
, qu’il existe une connaissance secrète et des moyens occultes d’agir
6
me moral : étant donné que la magie existe, qu’il
existe
une connaissance secrète et des moyens occultes d’agir sur les choses
7
Éternité. La substance du sérieux vrai ne saurait
exister
que dans l’acte qui rend l’éternité présente. Le seul fait accompli d
8
qu’une ironie. Car peut-être que l’acte de foi n’
existe
pas, n’est qu’une figure de rhétorique pieuse, une illusion, un mythe
9
e vrai sérieux. Mais peut-être aussi que cet acte
existe
quelque part, et alors il n’y a pas de sérieux dans ma vie tant que j
10
personne humaine. Aucun autre principe d’unité n’
existe
, au sens actif où Kierkegaard emploie ce mot. Si l’on ne croit pas en
11
issent plus aucun chemin. Comment marcher, s’il n’
existe
pas de chemin ? disent-ils dans leur suffisance, — car on appelle ain
12
is la Parole n’est dite que dans la foi, la foi n’
existe
que dans l’acte, et cet acte devient alors notre chemin et notre loi.
13
eu initie. 6 4.« Par rapport à l’absolu, il n’
existe
qu’un seul temps : le présent »33 Nous ne connaissons rien du Chr
14
ocation de Dieu l’a mis. Supposez qu’un tel homme
existe
. Que va-t-on faire de lui, de ce héros, n’est-ce pas, des valeurs de
15
que « l’argent ne fait pas le bonheur », et qu’il
existe
d’autres biens que nulle violence ne peut dérober, mais c’est une tri
16
monde sans esprit, exactement comme si l’Esprit n’
existait
pas î Serons-nous des témoins ou des espions craintifs ? Attendrons-n
17
utre existence et d’autre pouvoir que mon refus d’
exister
devant Dieu et d’exercer le pouvoir que je suis. Elle n’est que ma dé
18
lus réel, le plus présent. Parce qu’il sait qu’il
existe
un « ailleurs » et que l’Éternel vient à lui, il peut réellement et j
19
uoi le roman de Kafka suppose, du seul fait qu’il
existe
, une sorte de révélation, un « ailleurs » au moins pressenti, qu’il s
20
et nous sommes sur la terre : l’instance suprême
existe
et délibère au-delà de toutes nos imaginations. Comment pourrions-nou
21
icorde. C’est l’état de l’homme qui sait que Dieu
existe
, mais qui ne peut plus lui obéir, et qui ne sait pas comment l’attein
22
judéo-chrétienne. Il sait que Dieu et sa Justice
existent
, mais il le sait d’une manière négative, ou plutôt, il pressent qu’il
23
lle part dans la vie quotidienne. Car le chemin n’
existe
, en vérité de vie, que pour celui qui ose y faire un pas sans voir. M
24
tant vers le néant, en sorte que Dieu, vraiment n’
existe
plus pour toi ? Il est une double prédestination : l’une au salut, l’
25
peut aussi nier l’éternité, et affirmer que seul
existe
notre temps. Dans ce cas tu n’as rien prouvé. L. — On ne prouve rien
26
incérité qu’on pourrait nommer constructive. Tout
existe
dans l’homme, dit-elle, mais tout n’y est pas d’égale valeur. Et ce n
27
n’y a rien à voir sous les apparences. Car rien n’
existe
, hors de ce qui se manifeste ; rien ne se manifeste hors d’un mouveme
28
érité est une pensée matérialisée, la vérité doit
exister
non seulement en nous, mais devant nous. Non seulement elle doit avoi
29
t d’admettre que tout se voit sur un visage. Il n’
existe
, pour lui, aucun refoulement. Ou plutôt tout refoulement se manifeste
30
⁂ Je vois, j’ai tenté de faire voir comment Ramuz
existe
à sa façon. Je vois que son pouvoir est sa présence active au monde.
31
eut être sérieuse que si l’on sait que la réponse
existe
. Il fallait nous apprendre cet embrassement, cette saisie des choses
32
on profonde et constante dans l’homme : celle qui
existe
entre le recours à l’indicible et la fuite devant le moi personnel. S