1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
1 — soit qu’on pense, selon l’Advaïta, que Dieu n’«  existe  » pas mais qu’il est Tout, et que le Tout ou le Réel n’est que le Moi
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où le drame se noue
2 an politique et social, c’est le monde romain qui existe seul. L’Église va donc s’organiser dans les structures de l’Empire, c
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — La spire et l’axe
3 ’était qu’atome, et la persona que valence ; l’un existait par soi, l’autre dans ses relations. L’acte de création des grands co
4 ne tient à rien qu’à lui-même, au seul fait qu’il existe , distinct. D’où son orgueil aussi, son astuce égoïste et finalement,
5 agit surtout de complexes dynamiques, de formes d’ exister qui poursuivent dans nos vies — dans l’atome de durée de chacune de n
6 égressive. Cette double possibilité communautaire existe en Occident depuis près de vingt siècles. Si l’Occident, un jour, par
4 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience du temps historique
7 t, vers 1950, nul ne peut plus douter que l’homme existe depuis environ cent-mille ans. Aux toutes dernières nouvelles — qui d
8 dans le sens de l’Histoire en reçoit l’attribut d’ exister . Ce qui résiste au sens est « mystification » aux yeux des théoricien
9 de urgence à l’homme moderne, pour qui l’histoire existe comme telle et non comme répétition, qu’à l’homme des cultures archaï
10 t même pas la seule option réelle dans laquelle «  existait  » politiquement l’époque : l’Europe unie ou le triomphe des Soviets.
5 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience de l’espace
11 s n’ont-ils pas eu l’idée d’aller regarder ce qui existait au-delà de leur monde ? Si l’on répond qu’ils n’en avaient pas les mo
12 uérir une Amérique dont il n’a jamais cru qu’elle existât , mais de trouver une route vers l’Inde et le Cathay qu’il croyait ass
6 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’exploration de la matière
13 omisme et le continu — la tension à vrai dire « n’ existe  » pas. Il s’agit simplement de l’antagonisme de deux écoles isolées e
7 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
14 tions n’est pas celle de « besoins » qui auraient existé avant elles. Sa logique n’est pas celle de l’utile, mais du jeu70. Or
15 — cette distance est le « milieu » dans lequel il existe  —, l’esprit conçoit un Bien distinct de la Nature, et qu’elle seule s
16 rs tient à l’endroit. Il est dans notre esprit, n’ existe pas ailleurs, et c’est là qu’il faut le combattre. Comment imaginer,
8 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Les ambivalences du progrès
17 éagirait ; s’il est blessé et réagit, c’est qu’il existe . J’essaierai donc d’en définir la nature et les exigences. Les origin
18 rs de l’homme sur lui-même et sur le cosmos où il existe , bien qu’il soit proprement occidental par ses origines historiques,
9 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Le drame occidental
19 on pas totalement absurde ou sacrilège. Mais il n’ existe point d’accord sur la manière de la réaliser. Les uns parient sur la
20 deviennent. Ce sentiment public et cette réalité existent surtout, semble-t-il dans les pays marqués par la Réforme — nord de l
21 issance du monde, ce n’est rien dire, puisqu’il n’ existait pas alors de monde mesurable et fini. Beaucoup d’autres empires se pe
10 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Où l’Aventure et la Voie se rejoignent
22 sie. « Il faut analyser les relations intimes qui existent entre les conditions économiques et les valeurs culturelles », écrit
11 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — La quête sans fin
23 reuse moitié du monde. La Quête est notre forme d’ exister . Et pourtant, songeant à l’Orient, j’invoquerai le précédent fabuleux