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uction, mais « une politique à hauteur d’homme » (
expression
qui allait faire le titre d’un livre de Léon Blum, puis d’un recueil
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devant la « finitude de l’homme ». Cette dernière
expression
obsède les analyses de Foucault et de Lévi-Strauss. L’homme s’y voit
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n puisse dire est qu’elle les « hérisse » selon l’
expression
de Pompidou, tandis qu’elle paraît à d’autres « infâme » et « crimine
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» d’hier et l’aménagement de l’avenir désirable —
expression
qui définit une politique, traduisant des impératifs écologiques. Cel
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pe une, qui, sous la véhémente diversité de leurs
expressions
artistiques, fait effort vers autre chose, vers une chose plus haute.
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ngt et unième, paraissait pouvoir s’appliquer à l’
expression
d’« esprit européen ». Dans les exemples invoqués revenaient sans ces
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de celle des civilisations. Contre l’État-nation,
expression
implacable et proprement catastrophique de l’utopie technocratique, u
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une société d’éducation, idée qui ne trouvera son
expression
positive qu’au cours du xixe siècle, mais que Comenius a entrevue da
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, vraiment, pas d’ambiguïté (au sens courant de l’
expression
) : le Labour est franchement contre la CEE. 3. Le cas de l’Italie
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antissant les libertés de pensée, de réunion et d’
expression
, ainsi que le libre exercice d’une opposition politique. 3. Nous voul
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« le plein exercice de la liberté de pensée et d’
expression
» et surtout la possibilité de « participer à la définition des choix