1
e au juste quelle dose d’« humour » il met dans l’
expression
), c’est la rencontre d’une locomotive routière. « Depuis l’instant où
2
premier coup d’œil, ce « commun dénominateur » d’
expression
et de masques si dissemblables, n’est-ce point cela qui forme l’autop
3
l’auteur dans sa préface. Bien plutôt, elle est l’
expression
concrète d’une loi divine et humaine, et c’est ici que l’on peut voir
4
me fut la jeunesse, le passé de « l’Isolé ». Et l’
expression
la plus caractéristique de ce nouvel homme, qui a dépassé le romantis
5
gique, en observant sur le visage de celui-ci les
expressions
changeantes qu’y imprimait la passion. Il lui semblait qu’il faisait
6
n mystique véritable, il évite rigoureusement les
expressions
sentimentales ou rassurantes qui pourraient dépasser une action imméd
7
oncerne la question sociale. Il s’attache à cette
expression
un « ennui » qui sert à beaucoup de prétexte pour n’y point réfléchir
8
ur elles une autre issue : la prière en portait l’
expression
, loin des oreilles des hommes, jusqu’au trône de Dieu. Il n’en est pl
9
ienne, — opposition qui se prolonge et trouve son
expression
moderne dans des œuvres bien plus caractéristiques d’une éducation pr
10
ui ôter sa force, je le crains. ⁂ Le puritanisme,
expression
d’une doctrine héroïque, pouvait provoquer dans les âmes des complexi
11
« Sturm und Drang » auquel Goethe devait donner l’
expression
littéraire la plus parfaite avec Werther. Et nous ne manquons pas de
12
s tous les manifestes de partis ou de ligues, une
expression
revient comme une véritable hantise, comme le grand lieu commun de la
13
e plus que du « désarroi actuel ». Il n’est pas d’
expression
plus juste, pour qui se borne à considérer notre époque et les doctri
14
’affrontent au milieu du désordre. Il n’est pas d’
expression
plus fausse, et même plus dangereuse, pour qui veut prendre position
15
est la santé de la pensée. ⁂ Destin du siècle !
Expression
curieuse et bien moderne ! Si nous y regardons de près, nous allons v
16
l’esclave opprimé, a trouvé, selon Nietzsche, son
expression
détournée dans l’affirmation paradoxale que les premiers seront les d
17
ntré « le comique infini ». Il faut risquer cette
expression
: le rire de la charité chrétienne. « Le christianisme a découvert un
18
a vie. Mais encore faut-il se garder d’entendre l’
expression
au sens des romantiques. Je suis sujet, mais il reste à savoir d’où v
19
fut puissante dans la mesure exacte où elle fut l’
expression
directe de leur être. Si le mouvement œcuménique veut agir, et il le