1 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Le silence de Goethe
1 ne saurait mieux trahir que la retenue même de l’ expression . C’est pourquoi nous l’éprouvons plus vivement dans certains passages
2 e la magie, reniée extérieurement au profit d’une expression « utile », renaît comme libérée intérieurement au « jour nouveau ». L
2 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
3 crit « le comique infini ». Il faut risquer cette expression  : le rire de la charité. « Le christianisme a découvert une misère do
4 a vie. Mais encore faut-il se garder d’entendre l’ expression au sens des romantiques. Je suis sujet, mais il reste à savoir d’où v
3 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Franz Kafka, ou l’aveu de la réalité
5 rontés, dans ces pages, que par le biais de leurs expressions  : là où leurs expériences deviennent comparables, soit qu’elles s’opp
4 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Le Journal d’André Gide
6 discipline de l’esprit, mieux : une éthique de l’ expression . Tantôt civilité très raffinée, ou stricte austérité du verbe. Le cal
5 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Vues sur Ramuz
7 bjets qui le délimitent. Le visage est vision et expression  : œil et bouche ; il est aussi élaboration et exécution : front et me
8 u de la bouche.) Quel est, en somme, le rôle de l’ expression , sinon de montrer surtout ce qui se cache, et de le montrer justement
9 etrouve leur raison d’être, les pousser jusqu’à l’ expression de leur nature primitive, produire au jour leur forme restaurée, — c’
6 1944, Les Personnes du drame. Une maladie de la personne — Le romantisme allemand
10 ceci nous amène au problème central : celui de l’ expression d’un indicible. Il nous faut dépasser ici le domaine circonscrit du r
11 cinant de tout jaillissement du langage, de toute expression littéraire. « Où trouver les mots ? », gémissent-ils. La plainte est
12 vèle une maladie de la personne. Le paradoxe de l’ expression d’un Indicible est tellement essentiel au romantisme qu’il explique,