1 haud sur la plaine, avec ses dômes et ses façades exubérantes de reflets, — et déjà nous passons sous de hauts ponts sonores, au lo

2 mble et le compose selon les lois d’une plastique exubérante . Quand je dis que j’observe, je n’observe rien. Il y a des femmes si

3 haud sur la plaine, avec ses dômes et ses façades exubérantes de reflets, — et déjà nous passons sous de hauts ponts sonores, au lo

4 mble et le compose selon les lois d’une plastique exubérante . Quand je dis que j’observe, je n’observe rien. Il y a des femmes si

5 haud sur la plaine, avec ses dômes et ses façades exubérantes de reflets, — et déjà nous passons sous de hauts ponts sonores, au lo

6 mble et le compose selon les lois d’une plastique exubérante . Quand je dis que j’observe, je n’observe rien. Il y a des femmes si

7 haud sur la plaine, avec ses dômes et ses façades exubérantes de reflets, — et déjà nous passons sous de hauts ponts sonores, au lo

8 mble et le compose selon les lois d’une plastique exubérante . Quand je dis que j’observe, je n’observe rien. Il y a des femmes si

9 et méthodiques ; dans une deuxième, des cinéastes exubérants , italiens, français et allemands ; plus loin, les directeurs des inst

10 af a dessinés dans leurs costumes d’une fantaisie exubérante — pas deux pareils ! — sont humiliés par l’uniforme qui leur est impo