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in empirisme est la condition même de tout effort
fédérateur
. L’exemple suisse est minuscule au regard des tâches qui attendent n
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a diaboliquement utilisé et dévié. 4. Mission
fédératrice
de l’œcuménisme Et maintenant nous voici dans le drame de l’année
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un ou quelque chose, et par suite que le principe
fédérateur
ne peut être que négatif, cette idée perdant force et opportunité, il
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ces et morceaux que de la faire dans un seul élan
fédérateur
; qu’il est plus facile de tourner les obstacles que de les attaquer
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ces et morceaux que de la faire dans un seul élan
fédérateur
: qu’il est plus facile de tourner les obstacles que de les attaquer
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end un pouvoir à sa taille. Car le second élément
fédérateur
qu’indiquait Freud nous fait encore défaut : comment imaginer ce sent
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Tous les quatre expriment avec force la vocation
fédératrice
de l’Europe, et la sourde angoisse de l’époque devant les prétentions
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lien de droit confédéral. Et toujours, l’élément
fédérateur
apparemment indispensable, est procuré par la menace ottomane. Il fau
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on le répète, le vrai moteur de notre union, son
fédérateur
par l’angoisse, la première institution européenne acceptée eût été,
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le cadre de ce schéma doctrinal. » bp. « Mission
fédératrice
de l’œcuménisme » dans le texte de 1946. bq. Le texte de 1946 indiqu
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ion ne peut être que l’œuvre d’un tout-puissant «
fédérateur
» (potentat ou État), n’est confirmée par rien dans notre histoire, e
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eurs d’une fédération. Ne mérite donc le titre de
fédérateur
que le groupe, ou l’État, ou la communauté d’États, ou le parti polit
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se former que par l’action d’un chef ou d’un État
fédérateur
, — ou bien pour résister à un ennemi commun. Mais l’histoire suisse q
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a veille des guerres de Bourgogne. Le seul agent
fédérateur
dont l’histoire suisse permette de vérifier l’action, dès l’origine,
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un monarque, un dictateur, ou le chef d’un parti
fédérateur
; sans aura de prestige ou de majesté ; presque anonyme, d’autant plu
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sonnalité nationale, et où d’ailleurs, faute d’un
fédérateur
tel qu’à l’Ouest tentèrent de l’être — chacun à sa façon — César et s
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Unis, Suisse — ne sont pas nées des œuvres d’un «
fédérateur
», mais au contraire de la libre volonté des peuples qui les constitu
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e la Suisse ne résulte pas de l’action d’un héros
fédérateur
ou d’un État hégémonique mais, au contraire, de l’association progres
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i sans les œuvres n’est pas la foi. 4. Mission
fédératrice
de l’œcuménisme Et maintenant nous voici dans le drame de cette fi
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oin de créer des fédérations ou d’être un élément
fédérateur
. Non seulement l’État hégémonique échoue dans sa volonté d’unifier, m