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et philosophe, Paul Montel, doyen honoraire de la
Faculté
des sciences de Paris, président de la Commission nationale française
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les séparer les arts et les sciences, et avec ses
facultés
dites supérieures, la théologie, le droit et la médecine, l’universit
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ais non des clercs. III. De l’Université aux «
Facultés
» Tout cela nous mène à la mise au pas napoléonienne des écoles, c
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e du xixe siècle et sera remplacé par celui de «
Facultés
», qui implique l’abandon de toute intention d’interdisciplinarité, d
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u sens premier. Séparées les unes des autres, les
Facultés
ne sont plus que des écoles professionnelles au service de l’État-nat
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iversités », alors qu’il ne s’agit en fait que de
Facultés
au sens qu’a gardé le terme dans le reste du monde. Chacune de ces Fa
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é le terme dans le reste du monde. Chacune de ces
Facultés
désormais isolée des autres, en droit comme en fait, compte autant ou
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sé de traiter dans le cadre exclusif d’une de nos
facultés
classiques. Voici quelques-uns de ceux que, pour ma part, je serais h
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d’existence opérationnelle démontrable hormis sa
faculté
de bloquer les issues souhaitables et possibles en fait. Certes « rie
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et conçu par Daniel Villey, jeune professeur à la
Faculté
de droit de Poitiers et fondateur d’une organisation d’activistes, le