1 1963, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Universités américaines (12-13 janvier 1963)
1 mbolique. Cocktails dans le cottage d’un doyen de faculté . Une vingtaine de professeurs, pour la plupart auteurs connus, poètes
2 1964, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il nous faut des hommes de synthèses (19-20 septembre 1964)
2 t plus, je veux dire l’Université et ses diverses facultés , et les subdivisions de ces facultés, et tous les instituts spécialis
3 ses diverses facultés, et les subdivisions de ces facultés , et tous les instituts spécialisés qui, autour d’elles ou en elles, p
4 té des spécialisations dans le cadre distendu des facultés  ; et en même temps, explosion des effectifs estudiantins, résultant à
5 distances intellectuelles non seulement entre les facultés mais entre les spécialités qui prolifèrent dans une même faculté tend
6 tre les spécialités qui prolifèrent dans une même faculté tendent à devenir infranchissables. Dans l’univers du savoir humain,
7 nfranchissables. Dans l’univers du savoir humain, faculté et spécialité sont en train de s’éloigner les unes des autres avec un
8 ats à fouetter que de méditer sur la synthèse des facultés de l’esprit humain. La juxtaposition de facultés étanches ne fait pas
9 facultés de l’esprit humain. La juxtaposition de facultés étanches ne fait pas plus une université qu’une addition d’organes ne
10 un studium generale, aux étudiants de toutes les facultés et instituts spécialisés. Je n’y crois pas. La presque totalité des e
11 on de petites universités à la multiplication des facultés , des chaires et des postes d’assistants dans les déjà trop grandes un
12 t le plus malaisé de traiter dans le cadre de nos facultés classiques. Voici quelques-uns des sujets que, pour ma part, je serai
3 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il faut réinventer l’Université (29 juin 1968)
13 uantité variable d’écoles professionnelles, dites facultés , destinées à former des avocats, des dentistes, des ingénieurs, des f
14 i sens du terme et les écoles professionnelles ou facultés ont des finalités différentes, presque contradictoires. Les écoles pr
15 t différentes, voire opposées. Pour les écoles ou facultés  : acquisition, apprentissage, initiation correcte aux savoirs existan
16 oins de ses activités. L’école professionnelle ou faculté doit donc précéder l’Université, et l’une ne peut se désintéresser de
17 Tous les problèmes des écoles professionnelles ou facultés devraient être revus à l’aide de cette méthode, la seule à mon avis q
18 brants conglomérats d’écoles professionnelles (ou facultés ) que l’on s’obstine encore à nommer des universités. 18. Il ne faut p
19 e ce qui existe — les écoles professionnelles (ou facultés ) — mais éliminer ce qui empêche d’exister bien (le micronationalisme