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ra-t-on. M. de Montherlant répondra : non, car la
faiblesse
est le péché capital pour le sportif. Or c’est la faiblesse « qui fai
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est le péché capital pour le sportif. Or c’est la
faiblesse
« qui fait lever la haine ». « La faiblesse est mère du combat. » C’e
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st la faiblesse « qui fait lever la haine ». « La
faiblesse
est mère du combat. » C’est donc à un lacédémonisme renouvelé que nou
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nement ne s’épuise-t-il pas à combattre certaines
faiblesses
: il développe ses qualités, le reste s’arrange de soi-même. ⁂ M. de