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t le prototype. Le dictateur n’est fort que de la
faiblesse
des autres, et sa grandeur est négative : il est le symbole des secrè
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lle reste la source de nos grandeurs comme de nos
faiblesses
: notre risque créateur. Mais quand je parle d’individu, il faut s’en
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ous nos pays européens, on méconnaît à la fois la
faiblesse
présente et les forces virtuelles de l’Europe. Nehru, énumérant les p
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belles histoires du monde ont une fin — la fatale
faiblesse
de notre État : cette habitude de nous sentir “en règle”, et donc de