1 es peintres sous les traits du modèle. Cet air de famille qu’ont tous les personnages peints par Rembrandt, et qui permet de le

2 s « pervertis » : « Nous en avons eu trop dans la famille , votre pauvre oncle Charles… qui avait stupéfié la famille en devenan

3 votre pauvre oncle Charles… qui avait stupéfié la famille en devenant catholique…, puis Edmund Lely, cousin germain de votre pè

4 les, ou de mauvaises nouvelles qu’on reçoit de sa famille . À la suite d’une discussion vive avec des étudiants chrétiens au suj

5 vaste et pathétique tableau d’un domaine et d’une famille dont la mystique se révèle au cours d’un épisode central traité en pr

6 romanciers protestants montrent de préférence la famille dans sa force de conservation morale, alors que le catholique Mauriac

7 ’attarde au spectacle de sa décomposition. Ici la famille qui résiste, là la famille qui se défait30. Mais gardons-nous de voir

8 décomposition. Ici la famille qui résiste, là la famille qui se défait30. Mais gardons-nous de voir dans ce contraste autre ch

9 enne du Dieu paternel dérive de la notion « de la famille patriarcale ». Comme si l’on ne pouvait pas soutenir l’inverse ! et a