1 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Châteaux en Prusse
1 rt aux colonnes enguirlandées de roses. Toute une famille de géants, debout sur un seuil solennel, me regarde piquer du nez à l
2 ntre le premier, à grands pas, suivi par toute la famille et par les hôtes qui se précipitent pour atteindre leur place en même
3 t. Ensuite, tout Schleiermacher, un protégé de la famille . À partir de cette date, il n’y a plus que les Gothas. Les modernes s
4 e pour la paix du monde. Quoi ! cette centaine de familles écartées du pouvoir dans leur propre patrie depuis la chute de Bismar
5 nt fort peu d’idéologies importées. Les cadets de famille , ceux qu’on envoyait à l’armée, font parfois de la politique : le mou
6 u de nulle noblesse ; pas un instant, les grandes familles de la « noblesse primitive » (Uradel) d’avant 1350, selon le Gotha.
2 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
7 samedi soir, petits professeurs entourés de leur famille , et toutes ces Magda, toutes ces Maritza rieuses et déjà presque bell
3 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
8 de rêver en vers. Chacun son petit talent dans la famille . Le gros Fritz est un blond géant de 25 ans, qui rit avec bonté et se
4 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
9 grand coup de pied] et fiche-moi le camp ! ») Sa famille avait fui en Allemagne. À Fribourg-en-Brisgau, il avait suivi les cou
5 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
10 nt à la manière dont ils nous parlent de quelques familles des environs qui n’ont pas la ressource d’un jardin, ou qui ne « save
11 e chez Simard.) Nos hôtes nous avaient signalé la famille d’un mineur retraité, dont la femme fait des journées. Considérant qu
12 aux hasards de la rue, qui valent bien ceux de la famille , mais aussi aux hasards de l’éducation primaire, bienfaisante en prin
13 ces deux femmes ? Je résume mes renseignements : famille paysanne, de tout temps. Vie laborieuse, peu ou point de gains depuis
14 t, à connaître intimement le plus grand nombre de familles de N…, leurs circonstances matérielles, leurs difficultés morales, le
15 largir à toute la terre le champ des querelles de famille . La seule fraternité réelle, la seule créatrice et durable, c’est cel
16 ie ; — les blessés du poumon ; la Fédération des familles nombreuses. Cette dernière amicale d’« accidentés » est sans doute l
6 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — L’été parisien
17 zone, terme des pires déchéances, on le dit… Des familles de huit personnes couchant dans une baraque à un seul lit. Tous ceux
7 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
18 d’une confiscation de capital ; et que la vie de famille soit détruite, l’autorité des parents sapée, la religion dénaturée, é
19 cat. Madame se plaint : « Il n’y a plus de vie de famille possible, avec ce système. Tous les soirs, deux de mes enfants sur tr
20 adolescent, c’est tout ce qui ne dépend pas de la famille , fût-ce la plus dure discipline, pourvu qu’elle soit extérieure au fo
8 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Vers la guerre
21 veaux de la scène : en bas le Monde, au milieu la Famille , en haut la Solitude avec les anges. Les passages du héros d’un plan
9 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
22 er la guerre d’Espagne, car c’est une querelle de famille à quoi les étrangers ne peuvent rien comprendre. » Mais que pensent-i
10 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
23 très basse (on la prolonge sur les ailes quand la famille s’agrandit) ; tantôt une résidence d’été américaine, moderne et blanc
24 glais, français ou germaniques. Trente à quarante familles tiennent le haut du pavé et sont la société de Buenos Aires. Elles po
25 éventuel : 1. La féodalité agricole des cinquante familles maintient les peones à un niveau très bas. (« Ce sont eux-mêmes qui r
11 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
26 assées depuis longtemps au rang de taquineries de famille . Simple question de générations, en apparence. On dit le benedicite a
27 s et sa vieille mère est une Allemande du Sud. La famille de l’autre mari est de ce pays depuis plusieurs générations ; et leur
28 énoms, sans avoir jamais bien compris nos noms de famille . L’autre jour, Robert m’a conduit à Albany, pour m’éviter la moitié d
29 ais un groupe où cela marche très bien : c’est la famille … N’est-ce pas ? Les enfants prennent à table ou à la cuisine ce dont
30 s, on s’arrange, il y en a pour tout le monde… La famille est le modèle même d’une société entièrement anarchique. Il a l’air c
31 es rassurantes. D’ailleurs, il semble bien que sa famille (ses parents, ses frères et sa sœur) joue un rôle important dans la v
32 , la bonne conscience que représente une table de famille chargée de cadeaux enveloppés de papiers brillants, verts, rouges, ar
33 jours pour s’assurer une place dans le monde des familles , un droit à la chaleur des groupes. Et ceux qui seront laissés dehors
34 bout portant d’un coin de pays ou d’une scène de famille , d’un geste intime ou d’un visage aimé. Prenons-en donc notre parti.