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e une menace dans chacun de nos mouvements. C’est
fatal
. Et cela durera tant qu’elle nous croira les plus forts. — Tant que l
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siste à déclarer que la guerre des deux blocs est
fatale
; inutile de rien faire en l’attendant, et surtout pas quelque chose
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les histoires du monde ont une fin — la faiblesse
fatale
de notre État : cette habitude de nous sentir en règle, donc de nous
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es d’une empreinte qui vaut une victoire. C’était
fatal
! Imaginez deux hommes qui se disputent : l’un est une brute, et son
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ne révolution à main armée se voit acceptée comme
fatale
, se voit nourrie de nos passivités. Voilà ce qu’on nous prépare à dro
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er 1948)t Les uns nous disent que le choix est
fatal
entre l’URSS et les USA, et les autres refusent le choix parce qu’il