1
ique wagnérienne la grande fatigue, cette maladie
fatale
de la volonté européenne : toute musique authentique est un chant du
2
tait visé était la religion collectiviste, rançon
fatale
d’un individualisme civiquement irresponsable. Ignore-t-il, comme J.-
3
évitable) de notre anéantissement dans un conflit
fatal
. (p. 349-350) Puis, faisant allusion aux négociations qui devaient d
4
st-ce donc qui peut arrêter le monde sur la pente
fatale
où déjà il s’est engagé ? Si les délégués des peuples européens réuni