1 maîtresse du déshonneur, tout en expiant l’erreur fatale qu’elle a commise. Cependant des barons « félons » dénoncent au roi l

2 plus l’obstacle qui est au service de la passion fatale , mais au contraire il est devenu le but, la fin désirée pour elle-mêm

3 active de la Nuit qui leur dictait ses décisions fatales . 10.Le philtre Et voici que s’entre-dévoile la raison constitua

4 L’intervention du philtre, agissant d’une manière fatale , et mieux encore bu par erreur, se révèle désormais nécessaire14. Qu’

5 re pourrait aussi le concerner. Survient l’erreur fatale du philtre bu. Nous avons vu, par l’analyse du mythe, que cette fatal

6 t parfois de leur passion et maudissent le poison fatal , cause de leurs terribles souffrances. « Amor par force les demeine. 

7 e, devait se traduire, et se trahir d’une manière fatale , par une exaltation en termes divins de l’amour sexuel. À l’inverse,

8 i échapper. Et de là vient que la confusion était fatale entre l’Éros divinisant et l’Éros prisonnier de l’instinct. De là vie

9 dont il se plaint tout en sachant qu’il l’a voulu fatal  : Et pour que mon martyre au port jamais n’arrive Mille fois chaque

10 ’heures inégales ; Accablé de faveurs à mon repos fatales … Arrêtons ici la tirade : les premiers vers suffisent à attirer notr

11 notre méfiance. Quoi, c’est le bonheur qui serait fatal au repos de cet étrange amant ? Et le malheur d’être trahi par Angéli

12 nous n’oublions pas que ce refus de la contrainte fatale , cette liberté qui fait le prix du don, c’est une des exigences fonda

13 r toutefois les effets délicieux et torturants du fatal « philtre » (ici métaphorique). Bien mieux : cette volonté de liberté

14 s, ces dieux qui dans mon flanc Ont allumé le feu fatal à tout mon sang. (II, 3.) Et voici la servante Œnone qui tient à Phè

15 z. On ne peut vaincre sa destinée : Par un charme fatal vous fûtes entraînée… (IV, 6.) Duplicité, ai-je dit, mais à tel poin

16 inité coquette, cruelle et vampirique. Vos femmes fatales , et vos femmes adultères, et vos femmes desséchées de vertu, nous ont

17 ement cette perversion de la passion — d’ailleurs fatale , nous l’avons vu ailleurs — qu’est le « complexe de castration ».

18 une pour l’autre l’obstacle. Le but réel, tacite, fatal , de ces exaltations totalitaires est donc la guerre, qui signifie la

19 moderne, l’homme de la passion, attend de l’amour fatal quelque révélation, sur lui-même ou la vie en général : dernier relen

20 n échappant au monde fini. Mais la passion dite «  fatale  » — c’est l’alibi — où se complaisent les modernes, ne sait plus même

21 la faute, je n’y étais pas, c’est cette puissance fatale qui agissait en lieu et place de ma personne. » Pieux mensonge203 du

22 uire en erreur, et ce qui a introduit de fait une fatale erreur dans l’activisme moderne, c’est la collusion de la guerre et d