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même coup l’individu. Mais ce triomphe n’est pas
fatal
si l’esprit relève le défi et, malgré l’emprise du mythe qui tend à l
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et de tant de romans modernes et dans le destin «
fatal
» de leur protagoniste — souvent à l’insu de l’auteur… Et bien d’autr
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pas le dernier à subir les prestiges et le charme
fatal
. Est-il besoin de souligner que ce grand thème est l’unique justifica
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’on peut croire délibérée, du récit de l’erreur «
fatale
» de Brangien.) Comme dans Tristan, il est vrai, la polémique contre
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n bosquet fermé de haies, porte le nom d’« Enclos
fatal
»… L’animation des huit chemins n’est qu’une pure possibilité, — poss
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invite d’une étape significative, — et « l’enclos
fatal
» n’est pas loin, mais en même temps s’ouvrent des avenues… Ces carre
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oter d’une enfance et d’une jeunesse fut l’erreur
fatale
de Byron. Il est le génie de l’instant. Ses conquêtes sont sans histo
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it l’y conduire, — du mariage en tant qu’obstacle
fatal
sur sa route vers l’optimum. Parmi les grands philosophes, lequel éta
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ale » !… Au contraire, l’amour dans ce qu’il a de
fatal
, de cynique, de candide, de cruel… L’amour dont la guerre est le moye
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l’ordre cosmique, ou bien encore au sens des lois
fatales
et collectives interprétées par un Parti. C’est pourquoi le problème