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anée des idées de Progrès à l’infini et de Déclin
fatal
de l’Occident. Robertson entreprend d’écrire une histoire de l’Europe
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eur des philosophes modernes de notre « décadence
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». Tantôt il voit l’Europe à la tête du progrès mondial, tantôt il la
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ui rendrait notre monde invivable, serait l’issue
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d’une grande guerre franco-allemande, déclenchée par les idées révolu
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aturel, de plus artificiel, c’est-à-dire de moins
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, de plus humain et de plus libre dans le monde, c’est l’Europe, de pl
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eu Peuple ! Salut Homme ! Subis ton élargissement
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et sublime, ô ma patrie, et, de même qu’Athènes est devenue la Grèce,
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, l’Europe nous a repoussés avec colère ; la page
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de notre histoire, écrite de la main de Pierre le Grand, est déchirée
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ise du nom de progrès sa tendance à une précision
fatale
, cherche à unir aux bienfaits de la vie, les avantages de la mort. Un
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ela peut, en certaines circonstances, lui devenir
fatal
. Ce dont nous aurions besoin aujourd’hui, ce serait un humanisme mili
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démission de l’esprit devant les lois réputées «
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» de notre décadence.) Les nombreux « retours à l’orthodoxie » qui an
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Europe que l’homme a refusé de tenir pour une loi
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la stabilité de l’ordre social, et c’est ici qu’à chaque époque, le t
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que jamais, ils se heurtent à certaines barrières
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qui les empêchent de réaliser ce qu’ils pourraient fort bien faire. C
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qu’ils pourraient fort bien faire. Ces frontières
fatales
de l’économie actuelle allemande, anglaise, française, sont les front
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devenues folles. La guerre de 1939 était dès lors
fatale
. On n’a pas oublié qu’Hitler prétendait lui aussi faire l’Europe. Il