1 1963, L’Opportunité chrétienne. Première partie. L’opportunité chrétienne dans un monde sécularisé — 2. Sécularisme
1 mes totalitaires en est la conséquence directe et fatale . Les marxistes tout comme les fascistes ont insisté sur leur refus de
2 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 6. Vocation et destin d’Israël
2 uel futur. Et une angoisse contre laquelle il est fatal que l’on cherche à se protéger par quelque chose de visible et de tan
3 des utopies. Sans obéissance, il imagine des lois fatales . Sans Messie, il se fait précurseur des messies qui ne viendront pas…
4 les en elles-mêmes. Mais sans doute ce glissement fatal s’est-il dessiné dès le début, à mesure que l’on codifiait les relati
3 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 10. Le défi du marxisme
5 triomphé, rien ne l’eût empêché de subir le sort fatal des révoltes politiques : il eût revêtu les formes du pouvoir déposé3
6 re où l’on trahit le marxisme, on fait une erreur fatale , irrévocable, aujourd’hui manifeste. Erreur sur l’homme et sa mission
4 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 12. Le mouvement œcuménique et le fédéralisme
7 ire de Rome sur la Grèce est la première victoire fatale de l’étatisme sur l’individualisme devenu anarchique. Entre individua
5 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 13. La fin du pessimisme
8 à rebours, « mauvaise nouvelle » d’une démission fatale . Les émeutes de Poznań, la résistance de Varsovie et la révolution de
9 puissante, d’une réalité terrifiante et d’un sens fatal de l’Histoire, dont Big Brother sera l’aboutissement. J’ai tu jusqu’i
10 « décadence de l’Occident » et considérait comme fatal l’écrasement de l’Europe entre les blocs. Un certain déterminisme tec