1 ne caste impuissante, abandonnée à des curiosités fatales . Les plus vibrants panégyriques de « l’Ursse », ce sont des femmes du

2 Hegel et Comte. Ils sont réactionnaires, c’était fatal . Non qu’ils renient le Progrès rationnel : ils vont au contraire lui

3 la Société à la vocation personnelle. L’évolution fatale des choses est substituée au gouvernement de l’homme par lui-même. Tr

4 omprendre les raisons de la crise présente, terme fatal d’une révolution qui a consisté dans le passage d’une éthique de prod

5 es grands faits ont à la fois de spécifique et de fatal , historiquement et spirituellement, plus on se persuade que la nouvea

6 raît que ce parallèle met en lumière le mécanisme fatal de tout régime totalitaire, et cela d’une façon d’autant plus frappan

7 ’il s’agit de la culture. Dérision et dégradation fatales dans le cas des régimes improvisés, par où j’entends ceux qui ont com

8 ensée ne peut venir qu’à la remorque d’événements fatals et qui n’ont cure de ses arrêts. C’est que l’on confond la pensée ave

9 nt les normes et devant l’appareil d’une sécurité fatale à la vie qu’elle abrite. Nous avons décelé dans la logique interne d’

10 ète des dogmes. Elle invente des lois qu’elle dit fatales . Et l’aboutissement normal de ces doctrines, justifiées en vertu de c

11 au nom des manuels d’histoire et d’une évolution fatale  ; tous ceux qui se font une gloire de découvrir des déterminations ba

12 colastique hégélienne d’avoir fait admettre comme fatal le renversement d’un système social par ses seules victimes et à leur

13 qu’elle estime que l’action dépend du jeu de lois fatales , et non pas de l’esprit créateur, incarné par des hommes responsables

14 s personnifiées. Ou encore : entre la réalisation fatale d’une doctrine du fait accompli et la réalisation héroïque d’une doct

15 dernier terme. C’est qu’on croit la révolution «  fatale  ». Et la question n’est plus que de l’accommoder. On l’assimile par e