1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
1 Nous ne pensons plus par ensembles7 : symptôme de fatigue . Mais tout cela : dégoût universel, désir de violences, gratuité des
2 êves éveillés, tout cela ne dérive-t-il pas d’une fatigue immense. Nous voyons se fausser le rythme des jours et des nuits à me
3 e. (Les machines n’ont pas besoin de sommeil.) La fatigue devient un des éléments les plus importants de notre psychologie. Ima
4 ée : la littérature d’avant-garde est fille de la fatigue . La Muse a trop veillé. L’amour moderne, nerveux, saugrenu jusqu’au s
5 à ses sensations, à ses automatismes. En art, la fatigue est un des états les plus riches de visions nouvelles, et qui résiste
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Cécile-Claire Rivier, L’Athée (mai 1926)
6 airement sec permettent de suivre sans passion ni fatigue le développement un peu théorique mais intelligent d’un problème que
3 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Girard, Connaissez mieux le cœur des femmes (juillet 1927)
7 joutez que le lyrisme des noms géographiques vous fatigue  ; que c’est une vraie manie de nommer à tout propos d’Annunzio, Pola
4 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
8 gie. — Une vaste licence poétique… (Voici bien la fatigue avec son jeu des définitions)… pas de but. — C’est vous qui le dites