1 : pas un seul lieu sacré en dehors des églises en faux gothique luxueux, dominées de très haut par les gratte-ciel ; pas un

2 khart, et la Bhagavad-Gita. Et pourtant il serait faux , plus encore que banal, de répéter ici « tout est dans tout ». La par

3 ion romantique d’un renouveau de la liberté, d’un faux réveil rêvé pendant un long cauchemar qui serait, en fin de compte, l

4 ours. Qui ne l’a pas dit ? Curieusement, tout est faux dans ce langage ; tout n’est que manière de parler abusivement prise

5 ne perdra pas son temps à expliquer que tout est faux dans ces notions, hélas ! courantes, mais qu’aucune science digne du

6 illusion plus dangereuse que l’isolement » par la fausse sécurité qu’elle inspirait. Il en résultait que les puissances voisin

7 istrats directeurs se trouvent dans une situation fausse . Ils doivent, pour ainsi dire, servir deux maîtres, être tour à tour

8 et pour leur bien, les Européens opprimés par une fausse civilisation sont invités à se laisser éclairer et libérer par la sai

9 et une éducation spécialisée est le type même du faux problème. Car sans culture occidentale, point de technique, au sens a

10 explication utilitaire ou économique, entièrement fausse pour les périodes qui nous précèdent, peut nous sembler en train de d

11 tristaniennes. Mais qu’est-ce alors, quel est le faux amour qui « tourne » ainsi, « tourne à réalité » ? Ce n’est pas le dé

12 ialiste se révèle au premier examen non seulement fausse en soi mais particulièrement dangereuse pour l’Europe. L’équation